Après avoir lu ça :
"Les anges, du fait de leur nature, tiennent le milieu entre Dieu et les hommes. Or, le plan de la Providence comporte de procurer le bien des êtres inférieurs par le moyen des supérieurs. Pour ce qui est du bien de l’homme, il est procuré d’une double manière par la Providence : soit directement quand l’homme est porté au bien et détourné du mal, et il convient que cela se fasse par le ministère des bons anges ; soit indirectement quand l’homme est éprouvé, combattu par l’assaut de l’adversaire. Et cette manière de lui procurer son bien humain, il convient qu’elle soit confiée aux mauvais anges afin qu’après leur péché ils ne perdent pas leur utilité dans l’ordre de la nature […] ; c’est jusqu’au jour du jugement qu’il faut procurer le salut des hommes. C’est jusque là, par conséquent, que doit se poursuivre le ministère des anges aussi bien que les épreuves infligées par les démons. Tout ce temps-là, les bons anges sont envoyés ici-bas auprès de nous ; les démons résident dans l’air ténébreux pour nous éprouver » « Étant donné la faiblesse de l’homme, il suffirait qu’il soit attaqué par la chair et le monde. Mais cela ne suffit pas à la malice des démons, qui se servent de l’un et de l’autre pour assaillir les hommes. Cependant, grâce au plan divin, cela sert à la gloire des élus",
je me dis que je suis bien content de ne pas être diplômé en philosophie (commentatorat IPC, Paris), en histoire (maîtrise Paris IV-Sorbonne) et en théologie (doctorat ICT-ISTA, Toulouse) comme l'est l'auteur de ce chef d'oeuvre....
Oh la la! Le pauvre...!