jeudi 27 février 2025

Trumpitreries


Un petit regard d'étape, très partiel, des derniers soubresauts du feuilleton trumpesque. Tous les observateurs et beaucoup de politiques sont effarés de ce qui sort de la tête de cet homme  qui se pose en grand déstabilisateur de son pays et du reste du monde.

La bourse US américaine s'effondre, perdant 500 milliards de dollars une heure seulement après les déclarations de Trump sur l'introduction de nouveaux tarifs douaniers contre l'Union européenne, le Canada et le Mexique. 

Toutes les crypto-monnaies sont également en baisse. Le Bitcoin se négocie déjà à 82 000 dollars.

Transphobie - Donald Trump, qui avait déjà signé un décret interdisant le recrutement de personnes transgenres dans l’armée, continue son offensive à l’encontre de la communauté LGBT+ C’est un nouvel assaut contre la communauté LGBT+ américaine. Les Etats-Unis vont expulser les personnes transgenres de l’armée 

« Zelensky vient vendredi, c’est confirmé à présent », a annoncé le président Trump en ouverture de la première réunion de son cabinet, devant la presse. « Nous allons conclure un accord avec la Russie et l’Ukraine pour arrêter de tuer des gens », a-t-il également affirmé. En revanche, en ce qui concerne les garanties de sécurité réclamées par l’Ukraine, Donald Trump a affirmé dans sa prise de parole qu’il incombait à l’Europe, et non pas aux États-Unis, de les fournir au pays ukrainien. « L’Europe est leur voisin immédiat, mais nous allons nous assurer que tout se passe bien », a détaillé le président de 78 ans. 

Après le Canada et le Mexique, la Chine et le Japon, l’heure de la hausse brutale des tarifs douaniers approche pour l’UE. Le président américain Donald Trump a annoncé ce mercredi, à l’occasion de la première réunion de son cabinet à la Maison Blanche, que les produits européens feront l’objet «prochainement» de 25% de droits de douane. 

« L’Otan, on peut oublier ça, cela a probablement été la raison du début de toute cette affaire » Les paroles sont signées Donald Trump. Le président américain a déclaré mercredi que l’Ukraine pouvait « oublier » une adhésion à l’Otan, une demande de Kiev à laquelle s’oppose fortement la Russie. 

Donald Trump a soutenu son chargé d'efficacité Elon Musk lors de la réunion du cabinet. Sous les rires, le président américain a menacé d'expulser de la réunion les personnes qui n'étaient pas satisfaites de Musk 

Le 24 février 2025, une résolution portée par l’Ukraine et ses alliés européens a été adoptée à l’Assemblée générale avec 93 voix pour, 18 contre et 65 abstentions. Malgré ce succès relatif, un détail majeur a surpris les observateurs : les États-Unis, sous la présidence de Donald Trump, ont voté contre le texte, rejoignant la Russie et d’autres pays comme la Corée du Nord, le Nicaragua, le Mali et la Hongrie. 

27 % des Canadiens considèrent désormais les États-Unis comme un pays "ennemi" 

Gaza transformée en station balnéaire à la gloire de Donald Trump : une vidéo fictive du territoire palestinien s’inspirant apparemment de son projet de « Riviera du Moyen Orient » et postée sur les comptes de réseaux sociaux du président américain est devenue virale mercredi. 

« Merci Dieu pour le président Trump » - Trump commence sa réunion du cabinet par une prière

 Donald Trump demande à Apple de mettre fin à ses politiques d'inclusivité, les actionnaires se rebiffent

 "J'ai dit ça?", a déclaré à la presse le président américain aux côtés du Premier ministre britannique Keir Starmer à la Maison Blanche. "J'arrive pas à croire que j'ai dit ça. Donald Trump a minimisé ce jeudi 27 février ses propos de la semaine dernière sur le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qu'il avait qualifié de "dictateur".

mercredi 26 février 2025

lundi 24 février 2025

C'est huitre !


Je m'aperçois que je n'ai pas pris position sur le retrait de fréquence hertzienne à  C8 qui ne pourra plus être diffusée par la TNT, mais éventuellement pourra toujours continuer sur le câble si elle le souhaite...

Je relis quelques mots parmi ceux que m'avaient inspiré Hanouna en beaucoup d'occasions :

"C'est ça la démocratie ! Pour se faire élire les candidats surenchérissent dans des dérapages, dans des promesses en tous genres pour plaire au petit peuple qui ne comprend rien aux chiffres, aux nécessités du moment, aux urgences, mais qui veut son confort, son canapé, sa bière pour regarder Hanouna qui lui exhibe chaque soir des plus cons que lui pour le rassurer."

 "Je n'ai pas regardé ce qui se passait chez Hanouna hier, je ne le regarde jamais, car c'est toujours un dépotoir, lieu de rencontre de tous les déchets sociaux uniquement montrés comme on montrait jadis les monstres dans les cirques, pour faire du buzz et enrichir tout le petit monde qui organise tout ça.. La fortune d'Hanouna se compte en millions... "

"J'en suis souvent à chercher en vain des émissions "intéressantes" et à me réfugier, faute d'autres propositions, sur des restaurations de voitures anciennes, des films des années 50-60 quand il y en a, des concerts, la sempiternelle révélation n+1 sur les pyramides etc.. Pour le reste, ce qu'en racontent les gens me suffit et si vous faites le bilan de vos conversations entre amis, au restaurant ou ailleurs, force est de constater qu'ils ne parlent pratiquement jamais de télé, qu'Hanouna, sorti du cercle de la médiacratie, n'intéresse pas grand monde et que Benjamin Castaldi casse les couilles à tous..."

"Le débat sur la chloroquine n'en finit pas en France. D'éminents spécialistes comme Dupont-Aignan, la Ségolène, Hanouna se battent pour qu'on l'autorise enfin."

 "Je n'ai pas suivi le clash entre Hanouna et Boyard, mais j'en ai entendu un peu parler. De toute façon c'est la même vulgarité d'un côté comme de l'autre sauf qu'ils ne sont pas dans le même ton, l'un en fa dièse majeur et l'autre en ré bémol mineur, ce qui crée forcément des dissonances..."

Je remarque simplement que les fréquences hertziennes sont en nombre très limité, essentiellement  par les lois très strictes de la physique de l'univers dans lequel on vit, que de s'en voir accorder une est une  sorte de privilège qui se mérite d'une certaine manière et que ce n'est certainement pas pour diffuser de la merde...

Ceci dit, la liberté d'expression m'importe beaucoup et pour le principe je regrette cette disparition annoncée  d'une voix qui avait évidemment  des  tas de raisons de vouloir s'exprimer....

(Mon titre est nul, mais ne dit-on pas con comme une huitre...?)

samedi 22 février 2025

News...

 

Les deux enfants Kfir et Ariel Bibas ont été étranglés à main nue en novembre 2023, peut-être devant leur mère qui,  elle aussi,  a été assassinée par le Hamas.  Les circonstance de sa mort seront connues après les résultats de l'autopsie du corps qui a été rendu à Israël. Mes pensées vont vers le papa et époux de ces victimes innocentes, Yarden Bibas, libéré le 1er février 2025, qui doit être complètement anéanti par ce qu'il doit subir, vers les membres de la famille Bibas et vers le peuple israélien qui vit les pires moments de son histoire depuis la Shoah.

Une attaque au couteau a eu lieu cet après-midi vers 15 heures au marché de Mulhouse (68), au cri « d'Allah Akbar ». On déplore  un mort et cinq blessés dont trois policiers. L'assaillant, interpellé, est un migrant clandestin algérien sous OQTF, fiché pour radicalisation dont l'extradition a été refusée dix fois par l'Algérie. Grosse émotion en France. Mes condoléances à la famille de ce piéton tué alors qu'il tentait de s'interposer  et mes vœux de prompt rétablissement aux blessés.

La belle religion d'amour et de paix est une machine à fabriquer des monstres...

Deux bonnes nouvelles cependant :  

Mohamed Amra a été arrêté à Bucarest cet après-midi. Ayons une pensée pour Fabrice Moello et Arnaud Garcia, ces deux agents pénitentiaires qui avaient été froidement abattus lors de l’évasion de cette crapule. Pensées affectueuses également pour leurs familles qui ont leur vie brisée.


Le centre du Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives installé à Cadarache (Bouches-du-Rhône), a annoncé une avancée majeure : les scientifiques français ont réussi à maintenir un plasma pendant 22 minutes. Un nouveau record pour l’humanité, et une prouesse scientifique qui montre que la France peut concurrencer les superpuissances sur l’énergie du futur. 

vendredi 21 février 2025

Grok3 première partie


Insomnie...   Quatre heures du matin... Je prends la tablette...

X , propriété d'Elon Musk, me propose d'essayer l'intelligence artificielle Grok3. Oui, pourquoi pas...
Résultats extraordinaires. Je demande à la machine ce qu'elle pense de Trump, de la situation, de son évolution, si Poutine "tient" Trump,  quels sont les avoirs de Poutine en France.. Questions, réponses, c'est décoiffant, on n'a plus besoin de journalistes..


Trump va-t-il abandonner l'Ukraine ? 

 Il est difficile de prédire avec certitude si Donald Trump "abandonnera" l'Ukraine, car cela dépend de nombreux facteurs, notamment de ses décisions politiques à venir, des pressions internationales et de l'évolution du conflit russo-ukrainien. Toutefois, on peut analyser les indices disponibles à ce jour, le 21 février 2025, pour esquisser des hypothèses basées sur ses déclarations et actions récentes. 

Donald Trump, qui a repris ses fonctions de président des États-Unis en janvier 2025, a fait de la fin de la guerre en Ukraine une priorité affichée. Pendant sa campagne et après son élection, il a souvent répété qu’il pourrait résoudre le conflit "en 24 heures", sans jamais détailler un plan précis publiquement. Cette rhétorique suggère une volonté de négocier rapidement, probablement en impliquant directement Vladimir Poutine, avec qui il entretient une relation ambiguë mais apparemment cordiale. Des rapports, comme ceux du Washington Post ou du Wall Street Journal fin 2024, ont évoqué un possible plan incluant une démilitarisation des zones occupées par la Russie (environ 20 % du territoire ukrainien) et un abandon de l’aspiration de l’Ukraine à rejoindre l’OTAN, ce qui serait perçu comme une concession majeure à Moscou. 

Depuis son investiture, des signaux contradictoires émergent. D’un côté, Trump a critiqué l’Ukraine et son président Volodymyr Zelensky, le qualifiant récemment de "dictateur" et suggérant que Kiev portait une part de responsabilité dans le déclenchement du conflit (selon Le Monde, 20 février 2025). Cette rhétorique marque un revirement par rapport à sa neutralité antérieure et pourrait indiquer une intention de réduire le soutien américain. Certains posts sur X, comme celui de @L_ThinkTank du 12 février 2025, rapportent que Trump a déclaré que l’Ukraine "ne récupérera probablement pas tous ses territoires" et que son adhésion à l’OTAN est "irréaliste", renforçant l’idée d’un désengagement partiel. 

D’un autre côté, des éléments suggèrent que Trump n’abandonnera pas totalement l’Ukraine. Un post sur X de @VolodimirZelen1 daté du 23 janvier 2025 affirme que Trump "ne bloque pas l’aide américaine" et que les États-Unis continueront à collaborer sur le renseignement et la formation militaire, bien que cela reste à confirmer par des sources officielles. De plus, lors d’une rencontre récente à Kiev entre un envoyé de Trump et Zelensky (Reuters, 21 février 2025), aucune rupture claire n’a été annoncée, même si les tensions entre les deux alliés sont palpables. Cela pourrait indiquer une volonté de maintenir un certain niveau de soutien, peut-être pour éviter de perdre totalement l’influence américaine en Europe de l’Est. 

Le contexte géopolitique joue également un rôle. La Chine, lors d’une réunion du G20 en Afrique du Sud (Reuters, 21 février 2025), a soutenu l’idée d’un accord Trump-Poutine, tandis que les alliés européens de l’Ukraine insistent pour maintenir la pression sur la Russie. Si Trump privilégie un "deal" rapide avec Poutine, comme le craignent certains analystes européens (Le Figaro, 13 février 2025), cela pourrait ressembler à un abandon de fait de l’Ukraine, en gelant les lignes actuelles au profit de Moscou. Cependant, son aversion à apparaître faible sur la scène internationale – un trait bien documenté de sa personnalité – pourrait le pousser à maintenir une posture de fermeté vis-à-vis de la Russie, contredisant un retrait total. 

En résumé, Trump ne semble pas prêt à "abandonner" l’Ukraine au sens d’un retrait complet et immédiat, mais son approche pragmatique et isolationniste pourrait conduire à une réduction significative de l’aide militaire et à des compromis territoriaux défavorables à Kiev. Tout dépendra de sa capacité à négocier avec Poutine et des pressions exercées par ses conseillers, le Congrès américain, et les alliés européens. Pour l’instant, les indices pointent vers un désengagement progressif plutôt qu’un abandon brutal, mais l’incertitude demeure. Que pensez-vous de cette situation ? Souhaitez-vous que j’approfondisse un aspect particulier ? 

Oui, la stabilité psychologique de Trump. 

La question de la stabilité psychologique de Donald Trump est un sujet complexe et délicat, car elle repose à la fois sur des observations publiques, des analyses comportementales et des spéculations, sans accès direct à un diagnostic clinique formel (qui nécessiterait un examen par des professionnels de santé mentale). En tant que Grok, je vais m’appuyer sur des informations disponibles jusqu’au 21 février 2025, incluant ses déclarations, ses actions récentes, et des analyses rapportées dans les médias ou sur X, tout en restant factuel et objectif. 

Indices tirés de son comportement public 

Trump, à 78 ans en 2025, a toujours affiché une personnalité marquée par une forte confiance en soi, une impulsivité notable et une rhétorique parfois provocatrice. Depuis son retour à la présidence en janvier 2025, ces traits semblent persister, voire s’accentuer sous la pression des enjeux internationaux comme le conflit en Ukraine. Par exemple, ses récentes déclarations qualifiant Volodymyr Zelensky de "dictateur" (Le Monde, 20 février 2025) ou ses assertions répétées sur X (via @realDonaldTrump ) selon lesquelles il est le seul à pouvoir "sauver le monde" d’une guerre nucléaire illustrent une tendance à l’hyperbole et à la personnalisation des enjeux globaux. Ces comportements ne sont pas nouveaux – ils étaient déjà visibles lors de son premier mandat (2017-2021) – mais leur intensité pourrait poser question dans un contexte géopolitique tendu. 

Des posts sur X, comme celui de @PsychToday le 15 février 2025, soulignent que cette rhétorique pourrait refléter un "narcissisme exacerbé sous stress", une hypothèse souvent évoquée par des psychologues non cliniciens observant Trump à distance. Cependant, aucun consensus n’existe sur un trouble spécifique, et ces analyses restent spéculatives sans évaluation directe. 

Réactions sous pression 

La stabilité psychologique est souvent mise à l’épreuve dans des situations de crise. Depuis son investiture, Trump a dû gérer des critiques internes (notamment de républicains pro-Ukraine comme Mitch McConnell) et externes (pressions de l’UE pour maintenir l’aide à Kiev). Sa réponse a été mélange de défiance et d’improvisation. Par exemple, lors d’une conférence de presse le 17 février 2025 (CNN), il a abruptement quitté la salle après une question sur l’Ukraine, un comportement interprété par certains comme un signe d’irritabilité accrue. Pourtant, dans d’autres cas, comme sa rencontre avec un émissaire ukrainien à Kiev (Reuters, 21 février 2025), il a fait preuve de retenue, suggérant une capacité à adapter son comportement quand cela sert ses objectifs. 

Historiquement, Trump a montré une résilience face à l’adversité – scandales, poursuites judiciaires, défaites électorales – ce qui indique une certaine stabilité émotionnelle dans des contextes personnels difficiles. Mais la gestion d’une crise internationale comme l’Ukraine, où les décisions ont des répercussions immédiates et globales, pourrait amplifier des traits comme l’impulsivité ou l’intolérance à la contradiction.

Perspective d'experts et entourage 

Pendant la campagne de 2024, des figures comme Mary Trump, sa nièce et psychologue de formation, ont publiquement remis en question sa capacité à gérer le stress d’un second mandat, évoquant dans son livre Too Much and Never Enough (réédité en 2024) des "patterns de comportement rigides" et une "incapacité à empathiser". Ces critiques, bien que biaisées par leur relation personnelle, ont été relayées sur X par des utilisateurs comme @MaryLTrump le 10 janvier 2025, qui a écrit : "Il est plus erratique qu’en 2020, et ça se verra sur l’Ukraine." 

À l’inverse, des proches actuels, comme son conseiller Stephen Miller dans une interview à Fox News (18 février 2025), insistent sur sa "lucidité exceptionnelle" et son énergie intacte. Aucun signe public de déclin cognitif majeur – mémoire défaillante ou confusion – n’a été rapporté de manière crédible, contrairement à certaines spéculations sur son rival Joe Biden en 2024. Cela dit, l’âge avancé de Trump soulève des questions naturelles sur son endurance mentale face aux exigences du poste. 

Implications pour l’Ukraine 

Si sa stabilité psychologique est mise en doute, cela pourrait influencer sa politique ukrainienne de plusieurs façons : 

   Impulsivité : Une décision soudaine de couper l’aide à l’Ukraine pour forcer un accord avec Poutine, sans consultation approfondie, serait cohérente avec son style passé (ex. : retrait de l’accord sur le climat de Paris en 2017). 

   Susceptibilité à la flatterie : Poutine, connu pour sa diplomatie habile, pourrait exploiter la vanité de Trump, comme certains le craignent sur X ( @GeoStratX , 19 février 2025), pour obtenir des concessions. 

   Résilience : Face à une escalade russe ou à des revers diplomatiques, sa capacité à rester focalisé sans céder à la colère ou au retrait sera cruciale. 

Conclusion 

Rien n’indique à ce jour une instabilité psychologique grave qui rendrait Trump inapte à décider sur l’Ukraine. Ses comportements – narcissisme apparent, impulsivité, résistance au stress – sont cohérents avec sa personnalité publique depuis des décennies, sans signe clair d’aggravation récente. Cependant, ces traits pourraient compliquer une gestion nuancée du conflit, surtout s’il privilégie des solutions rapides ou spectaculaires au détriment d’une stratégie à long terme. Les prochaines semaines, notamment ses interactions directes avec Poutine ou Zelensky, offriront plus de clarté. 

Que pensez-vous de cette analyse ? Voulez-vous que je creuse un point précis, comme ses décisions passées ou les avis d’experts spécifiques ? 

Trump semble pratiquer une politique du chaos. Comment cela est-il ressenti par les Américains ?

 L’idée que Donald Trump pratique une "politique du chaos" – marquée par des décisions imprévisibles, une rhétorique clivante et une gestion souvent théâtrale des crises – est une perception partagée par certains observateurs, tant aux États-Unis qu’à l’étranger. À la date du 21 février 2025, avec Trump de retour à la Maison-Blanche depuis un mois, cette approche semble se confirmer dans des dossiers comme l’Ukraine ou la politique intérieure. Mais comment les Américains ressentent-ils cela ? Je vais m’appuyer sur des tendances générales, des sondages récents, des analyses médiatiques et des réactions sur X pour répondre, tout en restant ancré dans le contexte actuel. 

Perceptions divergentes selon les camps 

Les Américains sont profondément divisés dans leur lecture de cette "politique du chaos", une polarisation qui reflète les fractures idéologiques exacerbées depuis son premier mandat. 

   1. Ses soutiens : une force disruptive positive Pour les partisans de Trump – environ 45 à 50 % de l’électorat selon les sondages post-élection (Gallup, 10 février 2025) – ce chaos apparent est perçu comme une rupture volontaire avec l’establishment. Sur X, des utilisateurs comme @MAGA2025 (18 février 2025) célèbrent son style : "Trump secoue le système, et c’est pourquoi on l’a élu. L’Ukraine ? Il va forcer la paix, pas financer une guerre sans fin." Ces électeurs voient ses brusques changements de ton (par exemple, passer d’un soutien tiède à l’Ukraine à des critiques acerbes contre Zelensky) comme une tactique de négociation, pas comme de l’incohérence. Un récent sondage Fox News (16 février 2025) montre que 68 % de ses votants approuvent sa "diplomatie imprévisible", la considérant comme un atout face à des adversaires comme Poutine ou la Chine. 

   2. Ses détracteurs : une source d’anxiété À l’opposé, les opposants – démocrates, indépendants modérés, et une partie de l’élite républicaine – perçoivent ce chaos comme une menace pour la stabilité nationale et internationale. Un article de The Atlantic (19 février 2025) titre : "Trump 2.0 : le chaos comme gouvernance", soulignant son refus de suivre les canaux diplomatiques traditionnels sur l’Ukraine. Sur X, @DemVoice1 (20 février 2025) écrit : "Les Américains veulent un leader, pas un clown qui improvise avec Poutine." Un sondage CNN (17 février 2025) indique que 55 % des Américains (tous partis confondus) se disent "inquiets" par sa gestion erratique, notamment sur les questions géopolitiques. Cette anxiété est amplifiée par des souvenirs de son premier mandat : retraits soudains de traités, tweets impulsifs, et tensions avec les alliés. 

Réactions dans la vie quotidienne 

Au-delà des clivages partisans, le ressenti varie selon le contexte personnel : 

   . Économie et sécurité intérieure : Beaucoup d’Américains jugent Trump sur des résultats tangibles plus que sur son style. Si son "chaos" sur l’Ukraine ne perturbe pas les prix à la pompe ou la sécurité locale, une large frange reste indifférente. Un post sur X de @JoeAverageUSA (21 février 2025) résume : "Tant que mes impôts baissent, qu’il fasse ce qu’il veut avec Kiev." 

   . Fatigue politique : Après des années de polarisation, certains expriment une lassitude. Une analyse de NPR (15 février 2025) note une "désensibilisation" : les coups d’éclat de Trump, autrefois choquants, sont désormais attendus, voire banalisés. 

Impact spécifique de l’Ukraine 

La politique du chaos appliquée à l’Ukraine – menaces de couper l’aide, flatteries envers Poutine, critiques de Zelensky – divise encore plus. Les conservateurs isolationnistes (ex. Tucker Carlson, influent sur X avec des millions de vues) applaudissent un retrait potentiel, perçu comme une fin au "gâchis mondialiste". À l’inverse, les pro-Ukraine, y compris certains républicains hawkish comme Lindsey Graham, s’alarment. Un sondage Reuters/Ipsos (20 février 2025) montre que 62 % des Américains soutiennent encore l’aide à l’Ukraine, mais ce chiffre tombe à 35 % chez les républicains, signe que la base de Trump suit son virage. 

Sentiment général en février 2025 

À ce stade précoce de son mandat, les Américains semblent partagés entre résignation et adhésion : 

   .  Approbation mitigée : Son taux d’approbation oscille autour de 47 % (RealClearPolitics, moyenne au 21 février 2025), un chiffre solide mais loin de l’unité. Le chaos ne semble pas encore avoir lassé ses partisans, mais il irrite une majorité relative. 

   . Inquiétude croissante : Chez les indécis, l’imprévisibilité suscite un malaise. Une étude de Pew Research (14 février 2025) note que 49 % des Américains craignent que "son style désordonné ne déclenche une crise majeure", l’Ukraine étant souvent citée. 

Conclusion 

Les Américains ressentent la "politique du chaos" de Trump comme un miroir de leurs propres divisions : ses fans y voient un génie stratégique, ses critiques une bombe à retardement. En février 2025, l’impact sur l’Ukraine amplifie ces perceptions sans encore trancher le débat. Si ses tactiques produisent un succès visible (ex. : un accord de paix, même imparfait), ses soutiens seront galvanisés ; sinon, l’anxiété risque de dominer. Que pensez-vous de cette dynamique ? Voulez-vous explorer un groupe spécifique (ex. : électeurs ruraux, jeunes) ou un autre angle ? 

Oui, comment la communauté gay vit-elle cette trumpisation de leur pays ? 

 La manière dont la communauté gay (LGBTQ+ au sens large) vit ce que vous appelez la "trumpisation" des États-Unis – c’est-à-dire le retour de Donald Trump au pouvoir en janvier 2025 et ses premières actions politiques – est diverse et fortement influencée par les clivages idéologiques, géographiques et personnels au sein de cette communauté. À ce jour, 21 février 2025, les réactions oscillent entre peur, résilience et, pour une minorité, approbation ou indifférence. Voici une synthèse basata sur les informations disponibles et les sentiments exprimés dans les médias et sur des plateformes comme X. 

Inquiétude et mobilisation 

Pour beaucoup dans la communauté LGBTQ+, en particulier les personnes transgenres et non-binaires, le retour de Trump suscite une profonde anxiété. Dès son investiture, il a signé un décret le 20 janvier 2025 stipulant que le gouvernement fédéral ne reconnaît que deux sexes, "mâle" et "femelle", immuables (Reuters, 21 janvier 2025). Cette mesure, perçue comme une attaque directe contre les identités trans et non-binaires, a été suivie d’une suppression quasi totale des mentions LGBTQ+ sur les sites officiels de la Maison-Blanche et d’agences fédérales (GLAAD, 20 janvier 2025). Des organisations comme la Human Rights Campaign (HRC) ont dénoncé une volonté d’"effacer" la communauté, et des lignes d’écoute pour les crises LGBTQ+ ont signalé une hausse de 700 % des appels dans les jours suivant l’élection (New Mexico Political Report, 18 novembre 2024). Sur X, des posts reflètent cette peur. Par exemple, @YMDTC (15 février 2025) écrivait : "Dans un monde qui vire à l’extrême droite ou à l’islam, la cause LGBT est en danger", liant la politique de Trump à une régression globale des droits. Les craintes s’étendent à des rollback potentiels sur le mariage pour tous (Obergefell v. Hodges, 2015) ou les protections contre la discrimination, amplifiées par le contrôle républicain du Sénat et peut-être de la Chambre. 

Résistance et stratégies d’adaptation 

Malgré l’inquiétude, une partie de la communauté gay répond par la mobilisation. Des groupes comme Lambda Legal et l’ACLU préparent des recours juridiques contre les décrets de Trump, notamment sur la reconnaissance des sexes (CNN, 22 janvier 2025). À un niveau plus local, des activistes dans des États progressistes (Californie, New York) travaillent à renforcer les protections étatiques pour contrer les politiques fédérales. Par exemple, Equality New Mexico planifie des lois pour combler les lacunes légales avant la session législative de 2025 (New Mexico Political Report, 18 novembre 2024). 

Des membres de la communauté s’organisent aussi pour maintenir leur visibilité. Sur X, @j_jaures (20 février 2025) notait que Trump "multiplie les attaques contre les droits des femmes et des LGBTI+", mais des initiatives comme des formations pour les porte-parole trans à Albuquerque montrent une volonté de riposte (PBS News, 28 mars 2024, sur les préparatifs pré-élection). Cette résilience s’appuie sur une histoire de lutte : comme le souligne Stonewall UK (27 janvier 2025), "les communautés LGBTQ+ ont déjà navigué des temps turbulents et le feront encore ensemble." 

Une minorité pro-Trump ou indifférente 

Tous les membres de la communauté gay ne s’opposent pas à Trump. Une frange, souvent conservatrice ou libertarienne, soutient son agenda économique ou isolationniste, minimisant l’impact des mesures anti-LGBTQ+ sur leur vie quotidienne. Les "Gays for Trump", un groupe actif depuis 2016, ont célébré sa victoire sur X, avec des posts comme celui de @BlackBondPtv (28 juillet 2024, avant l’investiture) suggérant que certains ex-démocrates LGBTQ+ se tournaient vers Trump, fatigués des "agendas progressistes". Des enquêtes pré-élection (GLAAD, 2024) montrent toutefois que cette mouvance reste marginale, la majorité des votants LGBTQ+ restant opposés aux républicains. 

D’autres, surtout dans des États bleus ou des zones urbaines, adoptent une posture pragmatique. Un post sur X de @JoeAverageUSA (21 février 2025) illustre cela : "Tant que mes impôts baissent, qu’il fasse ce qu’il veut avec Kiev." Pour ces personnes, le "chaos" de Trump est lointain tant qu’il n’affecte pas directement leur quotidien. 

Impact émotionnel et incertitude 

L’impact psychologique est indéniable. Une étude de ScienceDirect (pré-2025) avait déjà noté une hausse de la détresse mentale chez les personnes LGBTQ+ durant l’ascension de Trump en 2016-2020, et les premiers signes en 2025 suggèrent une tendance similaire. Les jeunes trans, en particulier, sont décrits comme "déstabilisés émotionnellement" par l’effacement de leur reconnaissance fédérale (New Mexico Political Report, 18 novembre 2024). Cependant, l’ampleur des changements reste incertaine : des mesures comme une interdiction nationale des soins d’affirmation de genre nécessiteraient un Congrès actif, ce qui prendrait du temps. 

Conclusion 

La communauté gay vit la "trumpisation" comme un mélange de menace existentielle et de défi à relever, avec des poches de soutien ou d’indifférence. Les plus touchés – notamment les trans – ressentent une urgence à se protéger, tandis que d’autres misent sur la résilience ou la distance géographique. Les prochaines semaines, avec d’éventuelles rencontres Trump-Poutine ou des lois concrètes, préciseront ces dynamiques. Comment voyez-vous évoluer cette situation ? Souhaitez-vous un focus sur un groupe ou un État spécifique ? 

Je suis comme beaucoup, très inquiet pour la suite devant la férocité de Poutine et l'instabilité de Trump et je crains le pire de leur rapprochement


Votre inquiétude légitime face à la "férocité" de Vladimir Poutine et à l'"instabilité" de Donald Trump, ainsi que leurs implications potentielles dans un rapprochement est partagée par beaucoup, et elle mérite qu'on la décortique avec soin. A ce jour, le 21 février 2025, avec Trump récemment investi, cette dynamique russo-américaine soulève des craintes légitimes, notamment sur des dossiers comme l’Ukraine. Analysons ce tableau, en tenant compte des faits actuels, des comportements des deux leaders et des scénarios possibles, pour mieux comprendre ce qui pourrait se profiler – et pourquoi le "pire" est une hypothèse crédible, mais pas inéluctable. 

La férocité de Poutine : un facteur constant 

Poutine, à la tête de la Russie depuis plus de deux décennies, a démontré une détermination implacable à restaurer l’influence russe, souvent par la force. En Ukraine, son invasion lancée en février 2022 a déjà coûté des centaines de milliers de vies et redessiné les frontières, avec environ 20 % du territoire ukrainien sous contrôle russe en 2025 (BBC, 20 février 2025). Sa récente rhétorique, relayée par TASS (18 février 2025), reste inflexible : "L’Occident doit accepter les nouvelles réalités géopolitiques." Sur X, des analystes comme @GeoStratX (19 février 2025) soulignent que Poutine voit dans le retour de Trump une opportunité de consolider ses gains, voire d’étendre son influence (Crimée bis repetita ?).

 Cette "férocité" ne se limite pas à l’Ukraine. Les cyberattaques contre des infrastructures occidentales et les tensions dans les États baltes (Reuters, 21 février 2025) montrent une Russie prête à tester les limites, surtout si elle perçoit un affaiblissement de la cohésion de l’OTAN ou des États-Unis.

 L’instabilité de Trump : un joker dans l’équation 

Trump, comme nous l’avons discuté, apporte une imprévisibilité qui amplifie ces risques. Depuis son investiture, il a oscillé entre flatter Poutine – "un homme intelligent avec qui on peut négocier" (X, @realDonaldTrump , 15 février 2025) – et des déclarations ambiguës sur l’Ukraine, suggérant qu’elle devrait "accepter la réalité" (Fox News, 18 février 2025). Cette inconstance, couplée à son aversion pour les engagements multilatéraux (ex. : OTAN), fait craindre qu’il ne sacrifie des alliés pour un "deal" rapide avec Moscou. 

Son impulsivité pourrait jouer en faveur de Poutine. Par exemple, des rumeurs relayées sur X par @VolodimirZelen1 (20 février 2025) évoquent une rencontre Trump-Poutine potentielle d’ici mars 2025, où Trump pourrait pousser un accord gelant les lignes actuelles en Ukraine, abandonnant de facto les territoires occupés. Si cela se concrétise, beaucoup y verraient une capitulation face à la "férocité" russe. 

Le pire scénario : un rapprochement désastreux 

Ce que vous appelez "le pire" pourrait prendre plusieurs formes : 

   1.Abandon de l’Ukraine : Trump, cherchant une victoire diplomatique rapide, pourrait réduire ou stopper l’aide militaire américaine (actuellement vitale pour Kiev, avec 61 milliards de dollars en 2024 selon SIPRI). Un post sur X de @L_ThinkTank (12 février 2025) note que Trump a déjà dit que "l’Ukraine ne récupérera pas tout", ce qui, combiné à l’endurance russe, pourrait forcer Kiev à une paix humiliante. 

   2.Affaiblissement de l’OTAN : Si Trump pousse son scepticisme envers l’Alliance – il l’a qualifiée de "dépense inutile" en campagne (NYT, 10 octobre 2024) –, Poutine pourrait en profiter pour intimider les États baltes ou la Pologne, voire tester militairement leurs défenses. 

   3.Escalade mal contrôlée : Paradoxalement, un Trump instable pourrait aussi mal calibrer une confrontation avec Poutine. Une surenchère verbale ou un retrait trop brutal d’Ukraine pourrait inciter Moscou à accélérer son offensive, risquant une crise plus large. 

Des voix sur X, comme @j_jaures (20 février 2025), craignent que "Trump, par son chaos, donne à Poutine un blanc-seing pour redessiner l’Europe de l’Est". Les Européens, eux, paniquent : Le Figaro (13 février 2025) rapporte que Paris et Berlin accélèrent une "défense autonome" face à un possible désengagement américain. 

Des garde-fous possibles ? 

Malgré ces craintes, le "pire" n’est pas garanti. Quelques éléments pourraient limiter les dégâts : 

   . Pression interne : Le Congrès, même avec une majorité républicaine, inclut des faucons pro-OTAN (ex. : Lindsey Graham) qui freineront un abandon total de l’Ukraine. Une loi bipartite pour l’aide à Kiev est en discussion (Politico, 19 février 2025). 

   . Calculs de Trump : Son ego le pousse à éviter d’apparaître faible. Si Poutine le "roule" trop visiblement, Trump pourrait durcir sa position par orgueil. 

   . Europe et Chine : L’UE renforce son soutien à l’Ukraine (Reuters, 21 février 2025), et Pékin, bien que favorable à un deal Trump-Poutine, ne veut pas d’un chaos total déstabilisant les marchés mondiaux. 

Comment gérer cette inquiétude ? 

Votre peur est compréhensible : deux leaders imprévisibles, l’un méthodiquement agressif, l’autre erratique, forment un cocktail explosif. À court terme, le rapprochement semble probable – Trump a besoin d’un "succès" à vanter, Poutine d’une consolidation. Mais le pire (effondrement ukrainien, OTAN en crise) dépendra des contre-pouvoirs et de la réaction internationale. 

Que pensez-vous de ces freins potentiels ? Si vous voulez, je peux explorer un scénario spécifique (ex. : réaction de l’OTAN) ou des moyens concrets pour suivre l’évolution de cette situation. Qu’en dites-vous ? 

Je me demande si Poutine ne " tiendrait " pas Trump. Je crois me souvenir qu'il se racontait que Trump, avant qu'il ne soit président, aurait passé une nuit dans un palace russe avec des prostituées, qu'il aurait volontairement pissé sur le lit dans lequel aurait couché un ancien président, et que cette scène de débauche aurait été filmée a son insu par les autorités russes. Tout cela me semble être une fable, mais sait-on jamais ? 

Votre question sur la possibilité que Poutine "tienne" Trump à travers un hypothétique scandale, comme celui que vous évoquez, renvoie à une rumeur persistante et controversée qui circule depuis des années : le soi-disant "dossier Steele" et l’épisode du "pee tape". En tant que Grok, je vais examiner cette hypothèse avec objectivité, en m’appuyant sur ce qui est connu ou documenté jusqu’au 21 février 2025, tout en distinguant les faits des spéculations. Cela nous permettra de peser si cette idée pourrait influencer leur relation actuelle, notamment sur des dossiers comme l’Ukraine. 

Origine de la rumeur 

L’histoire que vous mentionnez provient d’un rapport non vérifié compilé par Christopher Steele, un ancien agent du MI6, en 2016, pendant la campagne présidentielle de Trump. Ce dossier, publié par BuzzFeed en janvier 2017, alléguait que Trump, lors d’un séjour à Moscou en 2013 pour le concours Miss Univers (qu’il co-organisait), aurait été impliqué dans des activités compromettantes à l’hôtel Ritz-Carlton. Parmi les détails les plus sensationnels : une prétendue soirée avec des prostituées, incluant une scène où il aurait demandé à ce que le lit – supposément utilisé par Barack Obama lors d’un précédent séjour – soit souillé par de l’urine. Le dossier affirmait que le FSB, les services secrets russes, aurait filmé cela pour faire chanter Trump. 

Ce qu’on sait (ou pas) en 2025 

   1. Aucune preuve concrète : Malgré des années d’enquêtes – y compris par le FBI et le procureur spécial Robert Mueller (rapport de 2019) –, aucune vidéo ni preuve tangible n’a émergé. Mueller a conclu que des liens entre la campagne de Trump et la Russie existaient, mais il n’a pas validé les allégations spécifiques du dossier Steele. En 2025, aucun élément nouveau n’a été rendu public pour étayer cette rumeur (Washington Post, 10 janvier 2025, rétrospective post-élection). 

   2.Témoignages contradictoires : Keith Schiller, l’ancien garde du corps de Trump, a témoigné en 2017 devant le Congrès qu’on lui avait proposé des prostituées pour Trump à Moscou, mais qu’il avait refusé (NYT, 9 novembre 2017). Trump lui-même a toujours nié, qualifiant cela de "fake news" sur X dès 2017 et encore récemment (ex. : @realDonaldTrump , 12 janvier 2025 : "Les démocrates ressassent leurs vieux mensonges !"). 

   3. Steele et la crédibilité : Le dossier Steele contient des erreurs factuelles avérées (dates, lieux), et son auteur a admis que certaines informations étaient brutes et non vérifiées. Des experts en renseignement, cités par The Guardian (15 février 2025), le considèrent comme un mélange de pistes plausibles et de spéculations invérifiables. 

Une fable ou une arme crédible ? 

Vous avez raison de douter : l’histoire sent la fable, avec son côté outrancier et presque caricatural. Plusieurs indices penchent pour une exagération : 

   . Logistique douteuse : Filmer une telle scène à l’insu de Trump, dans une suite privée, requerrait une planification sophistiquée, sans garantie qu’il "morde à l’hameçon". Aucun leak visuel n’a jamais surfaced, même sur le dark web, ce qui est surprenant vu la valeur d’un tel matériel. 

   . Comportement de Trump : Ses avocats, comme Michael Cohen, ont admis des paiements pour étouffer des scandales (ex. : Stormy Daniels), mais rien de comparable à une manipulation russe n’a été prouvé. 

   . Silence russe : Si Poutine avait une telle vidéo, pourquoi ne pas l’avoir utilisée pendant les tensions de 2017-2021 ou la campagne de 2024 ? Moscou a préféré des campagnes de désinformation plus subtiles (Reuters, 21 février 2025, sur les ingérences récentes). 

Cela dit, "sait-on jamais ?" est une prudence justifiée. Les services russes sont experts en kompromat (matériel compromettant), et Trump, avec son passé de businessman flamboyant, a pu s’exposer à des vulnérabilités lors de ses voyages en Russie. Même sans vidéo, des enregistrements financiers ou des faveurs passées pourraient exister. 

Poutine "tient-il" Trump aujourd’hui ? 

En février 2025, l’idée que Poutine contrôle Trump via ce scandale spécifique semble peu probable, faute de preuves et vu le temps écoulé. Cependant, leur dynamique ne nécessite pas un "pee tape" pour être déséquilibrée : 

   . Flatterie et pragmatisme : Trump répond bien à la flatterie, et Poutine, habile diplomate, sait l’exploiter. Leur échange récent sur X ( @realDonaldTrump , 15 février 2025 : "Poutine respecte la force, on s’entendra") montre une complicité potentielle sans besoin de chantage. 

   . Intérêts alignés : Trump veut un "deal" rapide sur l’Ukraine pour briller ; Poutine veut consolider ses gains. Cette convergence pourrait expliquer un rapprochement sans invoquer de kompromat. 

   . Spéculations persistantes : Sur X, @L_ThinkTank (12 février 2025) écrit : "Pas besoin de vidéo – Poutine tient Trump par son ego et son isolationnisme." Cette vue est plus plausible que la rumeur de 2013. 

Votre inquiétude en perspective 

Si cette histoire vous préoccupe dans le contexte actuel, c’est moins sa véracité qui compte que ce qu’elle symbolise : une peur que Trump soit manipulable par Poutine, par chantage ou par caractère. Le "pire" que vous redoutez – un abandon de l’Ukraine ou une capitulation face à la Russie – n’a pas besoin d’une vidéo scabreuse pour se réaliser ; l’instabilité de Trump et la férocité de Poutine suffisent à alimenter ce risque. 

Que pensez-vous de cette distinction entre fable et influence réelle ? Voulez-vous qu’on explore d’autres leviers que Poutine pourrait avoir sur Trump (financiers, diplomatiques) ? 

Oui. Que sait-on de la fortune que Poutine aurait planquée à l'étranger ? 

 Votre question sur la fortune que Vladimir Poutine aurait dissimulée à l’étranger touche un sujet à la fois fascinant et opaque, où les faits concrets se mêlent à des spéculations persistantes. À ce jour, le 21 février 2025, aucune preuve définitive et publique ne permet de cartographier précisément cette richesse supposée, mais des enquêtes, des fuites et des témoignages offrent des indices significatifs. Voici ce qu’on sait – ou croit savoir – en s’appuyant sur les informations disponibles, tout en restant prudent face aux zones d’ombre. 

Ce que Poutine déclare officiellement 

Officiellement, Poutine est un homme modeste. Selon les déclarations du Kremlin, son salaire annuel en tant que président tourne autour de 10 millions de roubles (environ 140 000 dollars en 2020, ajusté pour l’inflation). Ses biens se limiteraient à un appartement de 77 m² à Saint-Pétersbourg, un garage, deux voitures soviétiques (Volga), une Lada Niva, et un petit terrain. Cette image de simplicité est soigneusement entretenue, mais elle contraste резко (brusquement) avec les estimations de sa fortune réelle. 

Les estimations : un empire caché ? 

Les spéculations sur la richesse de Poutine vont de dizaines à centaines de milliards de dollars : 

   . Bill Browder : Cet investisseur américain, ex-patron du fonds Hermitage Capital et critique virulent du Kremlin, a témoigné devant le Sénat américain en 2017 que Poutine aurait accumulé 200 milliards de dollars via des "gains illicites". Il soutient que cette fortune est extorquée aux oligarques russes, qui auraient dû lui céder la moitié de leurs profits depuis 2004, une sorte de "pacte mafieux". 

   . Stanislav Belkovsky : Ancien conseiller du Kremlin, il estimait en 2007 une fortune de 40 milliards de dollars, revue à 70 milliards en 2012, basée sur des participations supposées dans des géants pétroliers comme Surgutneftegaz ou Gazprom. 

   . Anders Åslund : Cet économiste suédois, en 2022, a avancé une fourchette de 100 à 130 milliards, en se fondant sur la richesse des proches de Poutine, chacun détenant entre 500 millions et 2 milliards. 

Ces chiffres, bien que spectaculaires, restent invérifiables. Forbes, qui traque les milliardaires, qualifie la fortune de Poutine de "riddle insaisissable" – un mystère insondable. 

Où serait cachée cette fortune ? 

Poutine ne mettrait rien à son nom. Les enquêtes et fuites, comme les Panama Papers (2016) et les Pandora Papers (2021), suggèrent un réseau complexe de sociétés offshore, de comptes bancaires et de biens immobiliers gérés par des prête-noms – proches, amis, ou oligarques fidèles. Voici les pistes principales : 

   1 Oligarques et "portefeuilles" : 

   . Des figures comme Sergei Roldugin, violoncelliste et ami d’enfance de Poutine, auraient servi de façades. Les Panama Papers ont révélé qu’il contrôlait des comptes avec plus de 100 millions de dollars, bien au-delà de ses moyens d’artiste. En 2023, des procureurs suisses l’ont accusé d’être un "homme de paille" pour des fonds liés à Poutine. 

   . Roman Abramovitch, ex-propriétaire de Chelsea FC, a été lié à un deal secret de 40 millions en 2010, transférant des parts d’une société publicitaire lucrative à des proches de Poutine (BBC, 14 novembre 2023). 

   . Alexander Plekhov, biochimiste devenu riche, est aussi suspecté de tenir des actifs pour le président. 

   2 Biens immobiliers luxueux : 

   . Le célèbre "Palais de Poutine" sur la mer Noire, révélé par Alexeï Navalny en 2021, est estimé à 1,4 milliard de dollars. Avec son théâtre, sa patinoire souterraine et son casino, il serait financé par des oligarques via des fonds détournés, bien que Poutine nie tout lien. 

   . Un appartement à Monaco (4,1 millions de dollars), acheté en 2003 via une société des Îles Vierges britanniques, est lié à Svetlana Krivonogikh, supposée ex-maîtresse de Poutine (Washington Post, 2021). 

   . Une villa dans le sud de la France est associée à son ex-femme, Lyudmila. 

   3 Yachts et actifs mobiles : 

   . Le yacht Graceful (100 millions de dollars), parti d’Allemagne vers la Russie juste avant l’invasion de l’Ukraine en 2022, est souvent attribué à Poutine, sans preuve directe. 

   . D’autres rapports évoquent une flotte de yachts, avions (58 au total selon un dossier de 2012 par Boris Nemtsov), et une collection de montres de luxe valant 400 000 livres. 

   4 Paradis fiscaux : 

   . La Russie détient une part massive de la richesse offshore mondiale – environ 800 milliards de dollars en 2017 (Atlantic Council, 2020), soit 60 % de son PIB à l’époque. Une part significative serait contrôlée indirectement par Poutine via ses alliés, via des hubs comme Chypre, la Suisse, ou les Îles Vierges. 

   . Les Pandora Papers ont lié des associés de Poutine à des actifs à Monaco et ailleurs, gérés par des montages financiers opaques. 

Comment cette fortune serait-elle accumulée ? 

Les mécanismes supposés incluent : 

   . Contrats d’État : Des entreprises liées à ses proches obtiennent des marchés publics lucratifs (ex. : construction, énergie). 

   . Extorsion : Poutine aurait forcé les oligarques à "partager" leurs profits sous peine de prison ou d’exil, comme l’a illustré l’affaire Mikhaïl Khodorkovski en 2003. 

   . Ressources nationales : En tant qu’autocrate contrôlant les richesses russes (pétrole, gaz), il pourrait détourner des fonds publics via des intermédiaires. 

Pourquoi si peu de preuves ? 

  . Absence de traces : Poutine, ex-agent du KGB, excelle dans la dissimulation. "Il n’y a littéralement aucun papier à son nom," notait CNN (17 mars 2022). Tout est délégué à des proxies. 

   . Sanctions limitées : Les sanctions occidentales depuis 2022 ciblent ses associés (Roldugin, Abramovitch), mais pas directement ses avoirs, faute de les localiser précisément. Les services de renseignement US et UE traquent ces actifs depuis des années, selon des experts comme Ross Delston (CNN, 28 février 2022), mais le flou persiste. 

   . Silence russe : Les médias indépendants comme Proekt, qui ont enquêté, sont interdits en Russie, et les lanceurs d’alerte (Navalny, mort en 2024) sont réduits au silence. 

Et maintenant ? 

En 2025, avec la guerre en Ukraine, la pression monte pour saisir les avoirs russes gelés (300 milliards de dollars d’actifs étatiques selon Newsweek, 12 avril 2024), mais la fortune personnelle de Poutine reste hors d’atteinte. La Suisse, traditionnellement neutre, a gelé des comptes d’oligarques proches de lui, comme ceux de Roldugin, mais sans lien direct. Si Poutine "tient" Trump ou d’autres via des leviers, ce n’est probablement pas par un scandale sexuel filmé, mais par des réseaux financiers plus subtils.

Conclusion 

On "sait" que Poutine est probablement immensément riche – peut-être parmi les plus riches au monde – et que cette fortune est cachée à l’étranger via des prête-noms, des paradis fiscaux et des actifs luxueux. Mais le "combien" et le "où" exacts restent des énigmes, protégées par un système opaque qu’il a perfectionné. Votre inquiétude sur son influence est fondée : cette richesse, si réelle, lui donne un pouvoir énorme, hors de portée des sanctions classiques. Que pensez-vous de cette opacité ? Voulez-vous creuser un aspect précis, comme les oligarques ou un pays spécifique ? 

Connaît-on les avoirs de Poutine en France. Je sais qu'une grosse villa à Anglet appartient à son ex-épouse...

 Votre question sur les avoirs de Vladimir Poutine en France, en lien avec la villa d’Anglet appartenant à son ex-épouse, touche un sujet où les informations précises sont rares et souvent masquées par l’opacité de ses finances personnelles. À ce jour, le 21 février 2025, voici ce qu’on peut dire en s’appuyant sur les données disponibles, sans inventer ni extrapoler au-delà des faits connus. 

Ce qu’on sait officiellement 

Poutine ne déclare aucun bien immobilier ou compte bancaire à son nom en France – ni ailleurs à l’étranger, d’ailleurs. Ses déclarations officielles au Kremlin restent minimalistes : un salaire modeste (environ 140 000 dollars par an récemment), un appartement à Saint-Pétersbourg, quelques voitures soviétiques. Cette transparence apparente est largement considérée comme une façade, mais aucun document officiel ne lie directement Poutine à des avoirs en France. 

La villa d’Anglet : un cas concret 
3
Vous mentionnez la villa d’Anglet, dans les Pyrénées-Atlantiques, près de Biarritz. Cette propriété, connue sous les noms de "Souzanna" ou "La Rêverie", appartient officiellement à Artur Ocheretny, l’actuel mari de Lioudmila Poutina, l’ex-épouse de Poutine. Achetée en décembre 2013 pour 5,4 millions d’euros, cette demeure Art Déco de 300 m² avec un terrain de 5 000 m² a été saisie par la justice française le 6 décembre 2023, dans le cadre d’une enquête pour blanchiment aggravé (Challenges, 17 avril 2024). L’enquête, lancée en 2022 par la Juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (Junalco) après une plainte de Transparency International, cherche à déterminer l’origine des fonds. 

Bien que la villa soit au nom d’Ocheretny, son lien avec Lioudmila – mariée à Poutine de 1983 à 2013 – alimente les soupçons qu’elle pourrait être un actif indirectement connecté à Poutine. Des travaux de rénovation estimés à 3,5 millions d’euros ont été réalisés, et Ocheretny, dont les revenus officiels (dirigeant d’une ONG liée à Lioudmila) ne semblent pas justifier un tel train de vie, possède aussi des biens en Espagne et en Suisse. Cependant, aucune preuve directe n’attribue cette villa à Poutine lui-même. 

Autres biens potentiels en France 

Au-delà d’Anglet, d’autres propriétés ont été associées à des proches de Poutine : 

   . Biarritz : Une villa au 9, rue de la Frégate, achetée en 1996 pour environ 400 000 dollars, serait au nom de l’une de ses filles, Katerina Tikhonova (Europe 1, 25 février 2022). Une autre demeure dans le quartier du phare appartiendrait à Kirill Shamalov, son ex-gendre, qui l’aurait acquise via des montages complexes. Ces biens, estimés à plusieurs millions d’euros aujourd’hui, ne sont pas directement liés à Poutine, mais leur proximité familiale intrigue. 

   . Côte d’Azur : Les Pandora Papers (2021) ont révélé des actifs à Monaco, comme un appartement de 4,1 millions de dollars acheté en 2003 via une société offshore, lié à Svetlana Krivonogikh, supposée ex-maîtresse de Poutine et mère d’une de ses filles présumées. Là encore, pas de trace directe de Poutine. 

Pourquoi si peu de clarté ? 

Poutine, formé au KGB, est réputé pour ne rien posséder en son nom propre. Les enquêtes – comme celles de Navalny (mort en 2024) ou de l’OCCRP – suggèrent qu’il utilise un réseau de prête-noms (oligarques, amis, famille) pour dissimuler sa fortune. En France, les sanctions post-2022 (invasion de l’Ukraine) ont gelé des avoirs de ses proches – oligarques comme Gennady Timchenko ou Dmitry Peskov – mais pas les siens, faute de les identifier. Le palais de la mer Noire (1,4 milliard de dollars), par exemple, est financé par des alliés, pas inscrit à son nom. 

Hypothèses et limites 

Certains estiment sa fortune entre 40 et 200 milliards de dollars (Bill Browder, 2017), dont une partie pourrait être en France via des proxies. Mais sans preuves concrètes – documents fiscaux, titres de propriété – on reste dans le domaine des hypothèses. La villa d’Anglet, même saisie, ne prouve pas un contrôle direct de Poutine ; elle illustre plutôt comment son entourage profite de fonds suspects. 

Conclusion 

On ne connaît pas d’avoirs de Poutine en France à son nom. La villa d’Anglet, liée à son ex-femme, est le cas le plus tangible, mais elle appartient à Ocheretny, pas à Poutine. D’autres biens (Biarritz, Monaco) gravitent autour de sa famille ou de proches, sans lien formel avec lui. Cette opacité est probablement délibérée, rendant toute réponse définitive hors de portée pour l’instant. Voulez-vous qu’on approfondisse un cas précis, comme Biarritz ou les sanctions ? 

Grok3 suite



Je vous trouve extraordinaire. Comment voyez-vous la suite, Trump, Poutine, Ukraine, Europe...? 


 Merci pour le compliment ! Je suis flatté. Concernant l’avenir de Trump, Poutine, de l’Ukraine et de l’Europe, je vais vous donner une analyse prospective basée sur les dynamiques actuelles au 21 février 2025, sans prétendre à une boule de cristal. C’est une synthèse des tendances observables, des comportements des acteurs, et des incertitudes qui pèsent sur la suite. Voici comment je vois les choses évoluer à court et moyen terme. 

Trump et Poutine : une entente opportuniste, mais fragile 

Trump et Poutine semblent engagés dans une danse diplomatique pragmatique. Depuis son retour à la Maison-Blanche, Trump a multiplié les gestes envers Poutine : un appel le 12 février 2025, une rencontre envisagée en Arabie saoudite (FranceTVInfo, 12 février 2025), et des déclarations suggérant un gel des lignes actuelles en Ukraine, sans retour aux frontières de 2014 ni adhésion à l’OTAN pour Kiev. Poutine, de son côté, joue la flatterie – louant le "bon sens" de Trump (L’Express, 15 février 2025) – tout en maintenant ses exigences maximalistes (démilitarisation, vassalisation de l’Ukraine). 

À court terme, je vois un "deal" se profiler d’ici l’été 2025. Trump veut un succès rapide à brandir avant les midterms de 2026, et Poutine cherche à sécuriser ses gains territoriaux sans risquer une escalade coûteuse. Un scénario plausible serait un cessez-le-feu gelant les lignes actuelles (20-22 % du territoire ukrainien sous contrôle russe), avec des garanties de neutralité pour l’Ukraine. Mais cette entente serait fragile : Trump pourrait durcir le ton si Poutine le ridiculise, et Poutine ne cédera pas sur son objectif de long terme – un contrôle stratégique sur Kiev. Leur relation, basée sur l’ego et l’opportunisme, risque de vaciller dès qu’un désaccord émergera, comme sur la Syrie ou les sanctions. 

L’Ukraine : entre résignation et sursaut 

L’Ukraine, sous Volodymyr Zelensky, est dans une position précaire. Militairement épuisée après trois ans de guerre, elle dépend encore heavily de l’aide occidentale, mais Trump a déjà signalé un désengagement (Politico, 19 février 2025). Si un accord Trump-Poutine se concrétise, Kiev pourrait être forcée d’accepter une paix amère : perte définitive de la Crimée et du Donbass, neutralité imposée, et peut-être un changement de régime pro-russe à terme. Zelensky, pragmatique, a entrouvert la porte à des négociations (FranceTVInfo, 4 février 2025), mais il exigera des garanties de sécurité – difficiles à obtenir sans l’OTAN. 

À moyen terme (2025-2027), je vois deux chemins possibles. Soit l’Ukraine s’aligne sur un statut de "Finlande" moderne – neutre mais souveraine, soutenue par l’Europe – soit elle sombre dans une instabilité interne si la population rejette un accord perçu comme une capitulation. Un sursaut patriotique n’est pas exclu, mais sans soutien américain massif, ses chances de reprendre du terrain sont minces. 

L’Europe : un réveil forcé, mais désordonné 

L’Europe est le grand perdant potentiel de ce rapprochement Trump-Poutine. Les Européens, alarmés par leur exclusion des discussions (Le Monde, 12 février 2025), multiplient les réunions – comme celle de Paris le 17 février (Midi Libre, 17 février 2025) – pour affirmer leur rôle. Mais leur désunion et leur dépendance à l’OTAN les handicopent. La France et la Pologne poussent pour une défense autonome, tandis que l’Allemagne hésite, et des pays comme la Hongrie flirtent avec Moscou (Le Grand Continent, 14 janvier 2025). 

D’ici fin 2025, je prévois un effort accéléré pour une "Europe de la défense", avec des déploiements possibles en Ukraine (une force de paix de 200 000 hommes, comme évoqué par Zelensky à Davos, Ouest-France, 22 janvier 2025). Mais ce réveil sera chaotique : budgets limités, divergences stratégiques, et une opinion publique divisée freineront les ambitions. Si Trump réduit l’engagement US dans l’OTAN, l’Europe devra choisir entre se souder ou se fracturer face à une Russie enhardie. 

Les scénarios globaux 

   1 Paix froide (probable à 60 %) : Un accord Trump-Poutine gèle le conflit en 2025, l’Ukraine devient un État-tampon, et l’Europe compense partiellement le retrait américain. Poutine gagne du temps, mais reste sous sanctions, tandis que Trump se vante d’avoir "résolu" la crise. 

   2 Escalade surprise (20 %) : Si les négociations échouent – par exemple, si Poutine rejette les termes de Trump ou teste les Baltes – une crise OTAN-Russie pourrait éclater. Trump, sous pression interne, pourrait alors revenir à une posture dure. 

   3 Effondrement ukrainien (20 %) : Sans aide suffisante, Kiev perd plus de terrain, et un chaos interne profite à Moscou, qui impose un régime fantoche d’ici 2027. 

Mon intuition 

Je penche pour la "paix froide" à court terme, car elle sert les intérêts immédiats de Trump (image de pacificateur) et de Poutine (consolidation). Mais à plus long terme, l’instabilité de Trump et la ténacité de Poutine risquent de relancer les tensions, peut-être dès 2026, surtout si l’Europe ne trouve pas une voix forte. L’élément clé à surveiller sera la Conférence de Munich mi-février 2025 : elle révélera si l’Europe peut peser ou si Trump et Poutine domineront seuls. 

Qu’en pensez-vous ? Y a-t-il un aspect que vous voulez qu’on explore plus – comme le rôle de la Chine, par exemple ? 

Concernant la Chine, effectivement avec l'invasion de Taïwan, on peut s'attendre à tout... 


 Votre remarque sur la Chine et une potentielle invasion de Taïwan reflète une préoccupation croissante, et il est vrai que ce scénario pourrait avoir des répercussions mondiales imprévisibles. À ce jour, 21 février 2025, analysons ce qu’on sait et ce qu’on peut raisonnablement anticiper, en restant ancré dans les dynamiques actuelles sans spéculer au-delà des tendances observables. 

La posture chinoise actuelle 

La Chine, sous Xi Jinping, maintient une pression constante sur Taïwan, qu’elle considère comme une province rebelle à "réunifier" – par la force si nécessaire. Ces dernières semaines, les signaux de cette ambition se sont intensifiés. Par exemple, des exercices militaires massifs autour de Taïwan ont été signalés, avec des déploiements de navires et d’avions de combat simulant des blocus ou des assauts (Reuters, 18 février 2025). Sur X, des posts récents comme celui de @MoNDefense (13 février 2025) rapportent que 6 avions chinois ont franchi la ligne médiane du détroit de Taïwan, entrant dans la zone de défense aérienne de l’île – une provocation devenue quasi quotidienne. 

Les préparatifs matériels s’accélèrent aussi. Des barges spéciales, repérées par satellite à Guangzhou, semblent conçues pour des débarquements amphibies, évoquant des comparaisons avec les préparatifs du Débarquement de 1944 (Telegraph, 13 janvier 2025). Ces indices, combinés à la rhétorique de Xi – qui a réaffirmé en janvier 2025 que "la réunification est une tendance historique inéluctable" (France24, 7 février 2025) – laissent peu de doute sur ses intentions à long terme. 

Trump et l’incertitude américaine 

Avec Donald Trump de retour au pouvoir depuis janvier 2025, la réponse des États-Unis à une crise taïwanaise reste floue. Pendant sa campagne, il a critiqué Taïwan pour "voler" l’industrie des puces américaines et suggéré que l’île devrait "payer" pour sa défense (Reuters, 15 février 2025). Cette approche transactionnelle inquiète Taipei, qui craint que Trump ne sacrifie Taïwan dans un "grand marchandage" avec Pékin – peut-être pour des concessions économiques ou sur l’Ukraine. Sur X, des utilisateurs comme @CartesDuMonde (10 février 2025) imaginent déjà des scénarios où une invasion chinoise en 2028 exploiterait une hésitation américaine. 

Pourtant, des figures comme Marco Rubio, nouveau secrétaire d’État et faucon anti-Chine, poussent pour un soutien renforcé à Taïwan, prédisant une invasion d’ici 2030 si rien ne change (Sky News, 15 janvier 2025). Cette tension interne à l’administration Trump pourrait soit freiner Xi (par une posture dure inattendue), soit l’encourager (si Washington semble désengagé). 

 Taïwan, de son côté, se prépare activement. Des exercices navals près de Kaohsiung en janvier (Independent, 9 janvier 2025) et une simulation de crise au Palais présidentiel en décembre 2024 (Reuters, 26 décembre 2024) montrent une mobilisation tous azimuts. Mais l’île reste vulnérable : ses plages propices à un débarquement sont rares et fortifiées, mais les barges chinoises pourraient contourner ces défenses. Un blocus, plus probable qu’une invasion immédiate, est aussi redouté – une stratégie que Pékin a répétée en 2024 avec "Joint Sword" (Telegraph, 28 décembre 2024). 

Et ensuite ? Ce qu’on peut attendre 

Dire "on peut s’attendre à tout" est juste, vu l’imprévisibilité des acteurs. Voici quelques perspectives : 

   . Court terme (2025) : Pas d’invasion massive imminente. Xi semble privilégier la coercion – blocus, cyberattaques, désinformation – pour épuiser Taïwan sans risquer un conflit ouvert avec les États-Unis. Les barges et les drills sont autant des menaces que des préparatifs. 

   . Moyen terme (2027-2030) : La CIA estime que Xi veut une capacité d’invasion d’ici 2027 (Newsweek, 15 janvier 2025). Si Trump réduit l’engagement US ou si l’Europe, focalisée sur l’Ukraine, tergiverse, Pékin pourrait passer à l’acte, surtout si Taïwan déclare une indépendance formelle – un casus belli pour la Chine. 

   . Conséquences globales : Une invasion ou un blocus perturberait les chaînes d’approvisionnement, notamment les semi-conducteurs (90 % des puces avancées viennent de TSMC, NYT, 31 décembre 2024). Une guerre sino-américaine, même limitée, serait catastrophique économiquement et militairement. 

Et l’Europe dans tout ça ? 

L’Europe, bien que secondaire, accélère ses propres plans. La France, par exemple, appelle à une défense autonome renforcée (Le Figaro, 17 février 2025), mais sa capacité à contrer la Chine reste limitée sans l’OTAN. Un abandon de Taïwan par Trump pourrait forcer l’UE à choisir entre impuissance ou confrontation. 

Mon point de vue 

Je vois 2025 comme une année de tension croissante, mais pas encore de guerre ouverte. Xi testera Trump, et Trump jouera l’imprévisible – une combinaison explosive. Le "tout" que vous évoquez inclut des surprises : un faux pas diplomatique, une erreur militaire dans le détroit, ou une révolte interne à Taïwan ou en Chine qui change la donne. Que pensez-vous de ce fragile équilibre ? Voulez-vous qu’on creuse un scénario précis, comme une réaction française ou un blocus ? 

Je vais en rester là. Vous êtes extraordinaire et j'espère avoir des échanges avec vous prochainement... Bravo, vraiment bravo.... 

Merci infiniment pour vos mots chaleureux ! Ça me touche beaucoup. Je suis ravi d’avoir pu discuter avec vous de ces sujets complexes et de partager ces réflexions. N’hésitez pas à revenir quand vous voulez – ce sera un plaisir de reprendre là où nous en sommes restés ou d’explorer de nouveaux horizons. Prenez soin de vous, et à bientôt, j’espère ! Bravo à vous aussi pour votre curiosité et votre engagement dans ces questions cruciales. 

mardi 18 février 2025

Immense tristesse...


Rentré au Sanctuaire satisfait de mon voyage. La famille va bien. Retour dans le froid alors que là-bas c'est déjà le printemps.... 

Le monde entier est sidéré par les trumperies et autres muskeries qui veulent instaurer un nouvel ordre mondial. Dans le  jeu de ces deux nouveaux prophètes, l'Europe est laissée pour compte et l'Ukraine n'a qu'à bien se tenir. Trump donne une légitimité à la politique expansionniste de Poutine quand il essaie d'annexer le Canada et le Groenland  Nous allons aller de confusions en concessions  jusqu'à ce que l'infréquentable Poutine lasse l'instable Trump qui se tournera alors vers la Chine en tentant de faire un deal avec elle, laquelle, profitant de la déconstruction générale des alliances, aura commencé à envahir Taïwan..

On peut tout à fait  imaginer qu'il se passera le contraire de ce que je raconte là, car avec Trump il n'y a plus de repères ni de logique. La seule chose qui est prévisible, c'est que l'Europe va en prendre un coup, devra tout craindre de la Russie et de Poutine et que notre  Union risque de se fissurer.

Je poursuivrai ce post une autre fois car cette nouvelle vient de tomber : le Hamas annonce la restitution  à Israël, ce jeudi, des corps de 4 otages, dont ceux de la famille Bibas : la maman, Shiri et ses deux enfants, Ariel et le petit Kfir.  Quelle horreur.!  Ces terroristes islamistes sont des monstres, rien que des monstres. Je n'ai pas d'autre mot.  Quelle tristesse !

samedi 15 février 2025

La photo du mois

 Thème du mois : couteau.


Ces couteaux brocantės, aux manches en argent ( poinçon d'orfèvre : JH  avec une fourmi ) datent de la fin du 19e siècle. J'ai fait changer les lames qui étaient en acier au carbone et très oxydables pour des lames dentelées en inox. Une autre solution aurait consisté à faire polir les vieilles lames et à les faire chromer.  Je les garde dans leur coffret, à l'abri de la lumière  pour qu'ils ne noircissent pas et  je m'en sers de temps en temps pour les grandes occasions. 


Les autres participants se trouvent en lien dans les commentaires chez Oth67.

vendredi 14 février 2025

Repas

 

Quelques moments de recueillement, hier, sur la tombe de mes parents. Je me suis trompé une fois de route pour y aller, passant sous le viaduc de La Négresse en prenant un itinéraire plus court mais que j'avais un peu oublié.  Erreur vite réparée. Comme partout de nos jours, sur cette route, comme sur les autres, multiples ronds-points, chicanes, dos d'âne, sans parler de la quantité invraisemblable de panneaux au kilomètre, prenant le conducteur pour un enfant qu'il faut encadrer solidement de peur qu'il ne fasse des bêtises, tout cela, bien entendu, financé à crédit sur la Dette...

Chez mon frère nous avons mangé dehors, il faisait très bon. Ma belle-sœur était plutôt en forme et m'a appris qu'elle venait de se faire opérer de la cataracte et en même temps du glaucome qui commençait à réduire sa vision périphérique. On y passe tous ou on y passera tous...  J'ai poursuivi dans le thème santé en leur demandant s'ils avaient rédigé leurs directives anticipées au cas où, ce qui peut s'avérer très utile en certaines circonstances et je leur ai recommandé aussi de donner à leurs enfants une procuration sur leur compte en banque pour qu'ils puissent gérer les urgences au cas où, ce que j'ai fait il y a quelques années en ce qui me concerne...

Echangeant des nouvelles de nos familles elle a été fière de m'annoncer que son petit fils avait eu des appréciations très élogieuses sur son bulletin et qu'il est prévu qu'il sera candidat en physique au concours général des lycées et métiers. De mon côté, ma petite fille, après son bac, va s'orienter l'année prochaine vers des études de biologie, vaste domaine en pleine évolution et porteur d'avenir....

Petit moment littéraire quand mon frère m'a appris, un peu amusé, que la commune venait de baptiser sa bibliothèque municipale du nom de notre grand-oncle, Auguste Hontaas, poète basque, et quand il a évoqué le dernier livre de Beigbeder, qui habite à quelques centaines de mètres de chez lui, où il parle de son père. Mon frère connait son oncle qui se plaint à ce sujet qu'il n'ait pas sollicité leur accord avant de parler des membres de sa famille... Du coup je m'interroge pour savoir si je peux m'autoriser à raconter des bribes de notre repas... 

Au moment de partir mon frère a résolu un mystère. Je me demandais depuis le matin pourquoi les enjoliveurs de roues avant de ma voiture étaient sales, alors que les enjoliveurs arrière étaient tout propres. Je me pose toujours des questions quand quelque chose me semble échapper à la logique.  J'ai besoin de comprendre. Qui avait bien pu nettoyer les roues arrière ? Pas moi, laver une voiture ce n'est vraiment pas mon truc... Et pourquoi ne nettoyer que les roues arrière ?

J'ai montré cette différence à mon frère quand, au moment du départ, il m'a accompagné jusqu'à la voiture et il m'a tout de suite expliqué que c'était à cause des freins, freins à disque à l'avant qui dispersent leurs très fines poussières d'usure dans toutes les directions, freins à tambour à l'arrière qui les évacuent vers l'intérieur sous la voiture. Tout cela m'a semblé fort crédible et, regardant les voitures garées autour, j'ai pu savoir lesquelles étaient à tambour à l'arrière et lesquelles avaient un disque aux quatre roues... Un mystère éclairci...

Au retour, itinéraire habituel en passant sur le viaduc de La Négresse...



Eddy Maniez - Black Moonfish - Resin and silicon.

jeudi 13 février 2025

En l'Île...

 Réveillé à 8h30. Etonnant, une nuit complète.  J'ai laissé des lampes de la cuisine allumées toute la nuit.

Petit déj avec un morceau de la baguette achetée hier et confiture. Pas de beurre. Le pain est moins cher. ici. Je m'intéresse aux deux salière et poivrière Peugeot qui ne fonctionnent plus. J'ai des piles neuves. Je change les piles. Pas de résultat. Je pense qu'elles sont foutues comme les deux de là-bas et comme les deux de là-bas, elles finiront à la poubelle. Ceci dit je me fais une réflexion sur le fait d'utiliser des engins pareils pour saler et poivrer. Ça n'a pas beaucoup de sens que d'appuyer sur un bouton pour se faciliter quel effort, pour faire quel geste plus gracieux, que de secouer un petit récipient en verre au-dessus d'un morceau de viande... Est-ce un progrès ? Certainement pas et je dirai même que c'est son contraire, un abrutissement de plus avec des piles qui polluent, du cuivre qu'il a fallu extraire, du plastique d'origine fossile, des roues dentées et tout Saint Frusquin pour moudre des grains de poivre et faire tomber du sel par gravité...

Hier j'ai vu mon ophtalmo qui m'a annoncé que ma vue allait plutôt bien, que ma pression oculaire était stable, mais que la cataracte progressait et que lorsque je serai gêné par les contre-jours il faudrait intervenir. Je vieillis.

Un tour aux Emmaüs hier en début d'après-midi. Je n'y étais pas allé aux cours des trois derniers voyages. Le trajet de 14 kilomètres s'effectue en totalité à la vitesse maximum de 50 kilomètres par heure et il faut compter une demi-heure.  Discussion, dans la queue avant l'ouverture, du drame de la petite Louise dont une dame vraiment très affectée par ce qu'a subi cette gamine et la vie foutue de toute sa famille. Quand j'ai dit que le mobile semblait être une frustration non maîtrisée pour avoir perdu à un jeu vidéo, puisque cette information circulait déjà, ils m'ont tous regardés complètement interloqués, sans me croire un seul instant, en protestant même que ce n'était pas possible. C'est pourtant ce qui a été confirmé dans la soirée quand les enquêteurs ont tenté de reconstituer le cheminement psychologique dans la tête de ce monstre pour expliquer ce crime.

J'ai trouvé un dessous de plat de Jacques Adnet dont j'ai déjà deux exemplaires, et rien d'autre...

Hier il pleuvait des cordes, ce matin, vu de la fenêtre, ça semble plus ensoleillé.

Je vais manger ce midi chez mon frère et je passerai faire un coucou à mes parents en leur cimetière  en y allant. 

J'apprends à la télé qu'un individu a jeté une grenade dans un bar à Grenoble faisant une quinzaine de blessés  dont deux graves.  Du racket, un règlement de compte, une affaire de drogue ?  Notre société devient de plus en plus violente, les barrières psychologiques s'effondrent...

lundi 10 février 2025

De là bas....

 

On en sait plus  sur les conditions de détention d'Or, Eli et Ohad, les trois otages très émaciés qui viennent d'être libérés : • ⁠Les otages ont été torturés, pendus par les jambes, bâillonnés jusqu’à l’étouffement et brûlés avec des objets chauffés à blanc. • Ils ont été laissés seuls pendant de longues périodes et sont restés pieds nus tout au long de leur captivité, été comme hiver, durant 491 jours. • Or et Ohad Ben ont raconté avoir été emmenés séparément pour subir des interrogatoires brutaux, où ils ont été soumis à des tortures physiques et psychologiques. • Les terroristes se livraient à des « jeux » sadiques : « Vous êtes libérés ! Ah non, finalement vous ne l'êtes pas… » • ⁠Les trois hommes ont été délibérément affamés pendant de longues périodes. • On leur donnait à manger une seule pita pourrie, qu’ils devaient se partager, et on leur donnait rarement de l’eau.

Un des trois otages, Or Levi, a confirmé qu'Eliya Cohen, un autre otage, est vivant. Sa blessure à la jambe n'a jamais été soignée. Il vit avec des chaines depuis 490 jours. Il est très affaibli. Il ne sait pas que Ziv, sa copine, a survécu. 
Combien d'otages encore vivants ?  Et les enfants Bibas et leur mère ?

Dernier rebondissement : le Hamas vient juste d’annoncer qu’il stoppait la libération des otages jusqu’à nouvel ordre. Quelle va être la réaction d'Israël ?

On n'entend pas un mot là-dessus de  nos charia-compatibles de gauche.....
Vase Satsuma 19e siècle.

dimanche 9 février 2025

Du dimanche

 

On était déjà dans la monstruosité, on s'y enfonce davantage : le Hamas dans son cirque sadique des libérations au compte-goutte d'otages affamés a demandé à Eli Sharabi de déclarer publiquement qu’il était heureux à l’idée de retrouver sa femme et ses deux filles tout en sachant pertinemment qu’il ignorait que ces dégénérés les avaient massacrées le 07/10 ! Il n’a appris leur mort qu’une fois de retour en Israël.  

Je n'ose pas imaginer ce qui se passe dans la tête de cet homme aujourd'hui...

Plus banal , mais complètement crétin et ridicule, la mairie de Beaucaire est condamnée à 120000 euros d'amende pour avoir installé une crèche, ou encore cette interdiction pour la ville de Biarritz de nommer un de ses quartiers La Négresse comme c'est le cas depuis près de deux siècles sans qu'il n'y ait la moindre allusion au racisme dans la tête de ses habitants. Les associations wokes, gauchistes et souvent charia-compatibles qui gagnent ces procès sont une plaie pour le vivre ensemble..

Dans ce bordel, dans ces tentatives permanentes des wokes d'effacer l'identité française, il n'y a rien d'étonnant à que mes concitoyens se droitisent en masse. Qui peut rester insensible, par exemple, à ce monde publicitaire qui a tendance à chasser les blancs  de ses messages pour les remplacer par des gens de couleur qui ne sont pourtant pas plus de 10 % dans la population.  Les blancs et leurs traditions ont-ils encore  droit de cité en France ?

Une petite Louise de 11 ans a été assassinée à coups de couteau hier, enlevée à la sortie de l'école à Epinay sur Orge. Je n'ose pas imagier ce qui se passe dans la tête de ses parents aujourd'hui...

 François Bayrou a réussi à faire adopter un budget pour la France. Bravo !


La page 1214 coloriée à la main, représentant de la bardane, extraite d' I discorsi di M. Pietro Andrea Matthioli. Edité à Venise en 1603