J'ai avancé d'un demi cran aujourd'hui. J'ai retrouvé l'acte de mariage de l' ancêtre dont je porte le nom qui s'est marié en 1756 dans un petit village. Désigné comme "cadet". Une petite indication qui m'aidera peut-être pour la prochaine étape. Et puis ces mots navrants à la fin de l'acte : "... signé avec les témoins sous-signés, sauf les époux qui ont déclaré ne savoir". Sur l'acte de baptême de leur fils, né en 1764, ils n'ont pas signé non plus... Des laboureurs...
Pour trouver cet acte de mariage, je suis allé à la pèche. J'avais un acte de décès dont je n'étais pas certain qu'il s'agissait de mon ancêtre et qui indiquait le nom d'un village. J'ai lu tous les actes en partant de 1764... Bingo, quelque chose de lisible écrit par un curé à peu près soigneux, et des documents qui existent encore et qu'on peut consulter de chez soi par internet...
Étape suivante: retrouver son acte de baptême et connaître le prénom de son père et le nom de sa mère. Je pense qu'il est resté dans la même paroisse et qu'il est né aux alentours de 1732... La suite dans quelques jours si ça marche..
Encore une fois j'ai fait l'objet de hurlements de la part du propriétaire d'un chien. C'est à chaque fois pareil. Je vois quelqu'un qui sort son chien. Je lui demande poliment s'il ramasse les crottes et je me fais systématiquement engueuler en retour. Sauf que là c'était un cas un peu psy, carrément agressif qui était à deux doigts de me frapper. Je l'ai pris au colback au bout d'un certain temps et instantanément trois passants, qui se doutaient en voyant son agitation qu'il allait se passer quelque chose, sont intervenus pour nous séparer... Tant mieux. Nos contemporains sont quand même vigilants et sympas... Mais ça ne m'a pas découragé et je continuerai d'être désobligeant avec les propriétaires de chiens. Il faut au moins qu'on manifeste notre dégoût face aux crottes qui envahissent nos trottoirs...
Est-ce que je dois parler du théâtre parlementaire comme le désigne si justement l'Express. Bof. L'UMP brille plus par son absence que par sa présence. Et encore...
Pas la peine d'en dire plus. Deux mots encore pour saluer l'arrivée au Sanctuaire de cette cocotte certainement centenaire, mais qui se porte comme un charme dans son petit panier...