mardi 24 septembre 2024

Escroquerie aggravée...

 

Les oppositions font et refont le tour de tous les défauts qu'ils trouvent à cette nouvelle équipe, remontant jusqu'à une hypothétique tricherie de Retailleau au cours d'un jeu Interville avec Guy Lux il y a un demi siècle, et voilà que la députée Chikirou, une très, très proche du Lider Minimo, vient d'être mise en examen pour  « escroquerie aggravée » « abus de biens sociaux » et « recel d’abus de confiance. », une histoire de  surfacturation des frais de campagne mélenchonesque de 2017 à travers de sa société Médiascop, frais de campagne qui ont été payés par nos impôts de bons contribuables.  Excusez la dame...

Si je me réfère au Nouvel Observateur, j'apprends  que « d’après un rapport d’enquête cité par Mediapart, Mediascop avait vu « sa rentabilité bondir » à l’issue de ces campagnes 2017 avec un niveau « considéré par les experts comme étant “supérieur” à celui des entreprises du secteur de même taille ». Toujours d’après Mediapart, Sophia Chikirou aurait pu grâce à ces élections de 2017 se « verser à titre personnel plus de 135 000 euros de salaires et dividendes avant impôts dont elle a décidé seule du montant en tant que présidente et unique actionnaire de Mediascop », alors même qu’elle était au même moment responsable de la communication du candidat. « Le prix libre, c’est le principe du capitalisme », a défendu une source proche de Sophia Chikirou à l’AFP, contestant toute « surfacturation » ou « prix délirant ».

Mélenchon est aux abonnés absents quand on veut lui poser des questions sur cette affaire, lui qui est à la fois  la République, redresseur de torts, donneur de leçons et gardien en chef de la pureté évangélique de la gôche.  Pour ne pas être en reste avec sa très proche Chikirou il a été convoqué par la police ce matin pour avoir comparé de manière modérée Eichmann et un président d’Université. 

Ah, la gôche et ses valeurs..!

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