mardi 29 octobre 2024

Dérapages


L'interdiction de la publicité du livre de Jordan  Bardella dans  les gares SNCF,  sur la pression des deux syndicats Sud Rail et  CGT est forcément contre productive et, outre qu'elle décrit ce que deviendrait la France si elle tombait  sous la férule de l'extrême gauche comme le sont les Cuba, Venezuela, Corée du Nord avec un contrôle de l'opinion, des médias, et la suppression de la liberté d'expression,  cette interdiction fait une publicité énorme à ce livre avant même sa sortie, ce  qui va lui valoir un succès mémorable  en raison même  qu'il défend en plus maintenant cette liberté d'expression si chère à la grande majorité des Français...  On ne peut pas faire pire... 

C'est comme cette présence dans la délégation officielle du voyage d'Etat du président Macron au Maroc de  Yassine Belattar,  condamné à quatre mois de prison avec sursis pour avoir proféré de multiples menaces de mort, davantage connu pour sa brutalité et des textos injurieux à l’égard de personnalités juives que pour son goût de la concorde. Je recopie les mots de Caroline Fourest : « Il y a un moment que l’attention présidentielle accordée à ce bouffon sinistre, qui moque les maghrébins laïques comme des arabes de service depuis des années et anime des dîners du CCIF, connu pour ses menaces et sa violence, alarme. C’est un signal affligeant : le signe d’une déconnection totale et d’une inconscience absolue.»

Les députés de la France soumise à l'islam votent pour leurs absents à l'Assemblée nationale, alors que c'est interdit. Ils ont justement été rabroués par la présidente de l'Assemblée. La cour des miracles  LFI mérite un qualificatif de plus : tricheurs...


Peigne à tisser africain

2 commentaires:

  1. "La SNCF indique que le visuel de l’affiche contrevient aux « principes de neutralité » propres à la régie publicitaire et dément avoir cédé à des pressions de syndicats. Des affiches de Greenpeace, Wally Dia ou Bilal Hassani ont déjà été refusées pour la même raison." Dont acte...

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  2. Belattar c'est un peu le personnage de Victor Hugo dans L'homme qui rit : "Il y a d'abord une chose pressée ; c'est d'être ingrat. Barkilphedro n'y manqua point. [...] Qu'était-ce que Barkilphedro ? Ce qu'il y a de plus petit et ce qu'il y a de plus terrible. Un envieux."

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