jeudi 14 mars 2024

Sciences Po...

 

Une étudiante de confession juive a été empêchée d'entrer dans une salle de Sciences Po où se tenait un débat sur Gaza. Cela s'appelle de  l'antisémitisme. C'est inqualifiable. Ça donne la nausée comme le silence gêné de ceux qui ne dénoncent pas.
Sciences Po, dont la moitié des étudiants seraient  étrangers,  est devenu une succursale du Hamas et des Islamistes avec la complicité bienveillante de LFI.  Ecole en perdition avec un directeur démissionnaire, Mathias Vicherat, accusé de violences conjugales.   Des plaintes ont été déposées pour lutter contre ces dérives. Sciences Po est devenu une école woke de formation à l'anti-France

Comme le remarque Michel Onfray :"Aujourd'hui vous avez le droit d'être antisémite, raciste, homophobe, misogyne, pourvu que ce soit au nom de l'Islam."

Autre dérive, la dessinatrice Coco a été menacée de mort après ce dessin sur la famine à Gaza!!!  Libération vient d’être mis sous protection policière suite à ces menaces et aux tweets infâmes de certains élus LFI par rapport à cette caricature publiée dans ses colonnes ! Le droit à la caricature, le droit au blasphème, la liberté d'expression sont des droits fondamentaux que ça plaise ou non à la France Insoumise...  Tout mon soutien à Coco....


Détail du scrutin sur l'aide à l'Ukraine : 
RN : 88 abstentions 
LR : 49 pour, 11 abst. 
LIOT : 20 pour 
Démocrate : 49 pour, 1 abst. 
Renaissance : 169 pour 
Horizons : 30 pour 
Socialistes : 31 pour 
Ecologiste : 20 pour, 1 contre 
Gauche démocrate et républicaine ( communistes ) : 22 contre 
LFI : 75 contre 
Non inscrits : 4 pour, 1 contre, 1 abst.
Les communistes n'ont pas oublié le pacte Germano-Soviétique et soutiennent l'ex camarade Poutine, tout comme LFI  dont on se demande si ces gens ont encore conscience qu'ils vivent en France...  Quant au Rassemblement national, il ne voudrait pas chagriner son vieux pote  Poutine.

1 commentaire:

  1. Ce qui me dérange à l'extrême-gauche, à l'extrême-droite et chez vous, c'est le poids de l'idéologie et la faible place laissée à l'analyse, à l'examen critique et à la réflexion.

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