Ballade hier au marché de Noël. Beaucoup, beaucoup de monde. La nuit est tombée rapidement. C'était le jour le plus .court de l'année et le début de l'hiver. Les jours désormais rallongent et nous emmènent vers le positif. Ma petite déprime habituelle de novembre s'est arrêtée net quand G. m'a raconté son frère atteint de sclérose en plaque et que j'ai pensé à des très proches qui affrontent ou ont dû affronter des choses insupportables que j'ai vaguement évoquées ici. Dans le fond je n'ai aucun droit de déprimer, les choses n'allant pas si mal pour moi.
Par contre j'ai le droit d'observer et de râler. Le manque de pragmatisme et de courage de nos élus me navre au plus haut point. Au lieu de faire des économies, le projet de budget, non voté, prévoyait des dépenses et des taxes supplémentaires. On a l'impression que la France est sur le point de basculer vers un déclassement inéluctable, à la merci des marchés ou à la merci de manifestations ou d'émeutes qui peuvent se déclencher sur un dramatique incident monté en épingle par les réseaux sociaux. Si j'évoque les narcotrafics c'est une autre raison d'être inquiet, une partie du personnel politique voulant, par pur dogmatisme, légaliser le cannabis et ne craignant pas de transformer notre jeunesse en zombies. Quant à l'immigration, elle pousse les électeurs vers le Rassemblement national qui attend tranquillement son heure.
Sombre ambiance politique pour cette fin d'année. Côté Trump ça ne s'arrange pas non plus : ce mec a un vrai grain et je me demande vers quel naufrage il va entrainer le monde.. Quant à Poutine...!

































































































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