Quand Jean Marie Le Pen a renié sa première femme, Pierrette, la mère de Marine, comme on lui demandait avec quels moyens elle allait pouvoir vivre, il a répondu qu'"elle n'avait qu'à faire des ménages". La Pierrette n'a fait ni une ni deux, elle est allé faire des ménages, s'est mise en petite tenue et s'est fait photographier dans Lui l'aspirateur à la main...
Aujourd'hui il vient de renier sa fille, Marine. J'attends la suite comme vous pouvez l'imaginer. Verra-t-on une Marine en tutu rose épouser un Philippot rétrovirant sa cuti, comme lui a suggéré son père, afin de changer de nom?
Les prochains rebondissements, les prochains points de détail de l'histoire de cette saga familiale sont guettés avec gourmandise, surtout par les chaines d'information qui s'en pourlèchent déjà les babines....
Personnellement, pour une fois qu'il nous font rire au lieu de nous faire peur, autant profiter sans modération de leur spectacle de tartignoles....
Waouh, chocking!
RépondreSupprimerFranchement, René Paul, un grand garçon comme vous...
P'tain, si vous nous déterrez les vieux trucs des années quatre vingt, j'vais vous sortir des opus de Jean Pierre Mader ou de Rose Laurens que vous imaginez même pas.
Mais bon, c'est vrai que ça devient tragico-comique cette histoire.
Sinon, c'est plutôt la fille qui a répudié le père dans l'histoire, il me semble.
hélas , on choisit pas sa famille
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