Quand je suis allé voter par effraction en 1997 je ne m'attendais pas à ce qu'un ministre de la République m'en reproche un jour le résultat. Oui, j'en conviens, mon vote par effraction n'a pas eu le résultat escompté par certains, mais c'est ce qui arrive parfois avec le peuple: il a l'humeur changeante, mais tant qu'elle n'est pas massacrante, tout va bien. C'est déjà arrivé, par le passé!
Le Pied-Tendre Baroin vient de mettre fin à sa carrière politique en dévoilant le socle de sa pensée profonde, les bases sur lesquelles il a construit ses convictions qu'on ne peut pas dire baignées par le respect du peuple dans sa souveraineté et de ses élus dans leur légitimité. C'est une faute majeure, aberrante de la part d'un politique arrivé à ce niveau, mais la vision de l'enregistrement en confirme toute la sincérité, toute l'authenticité: c'est un débit continu de paroles sans l'ombre d'une hésitation ni d'un doute. Ce monsieur ferait mieux d'aller exercer ses talents dans une dictature, il en existe toujours....
Il me reste encore à comprendre pourquoi il en veut tant aux coins de table. Quand des amis se rencontrent au restaurant, c'est souvent qu'au cours de la conversation s'élaborent des projets de toute sorte. Parfois un convive prend des notes sur la nappe en papier: c'est le coin de table. Les coins de table de Picasso étaient très convoités par les serveurs...
Pourquoi le Pied-Tendre Baroin a-t-il une telle haine envers les coins de table? Baroin a l'air de nous dire que les bonnes décisions se prennent quand on est seul, bien assis devant son bureau, mais, c'est le propre des idées, celles-ci se manifestent en tout moment et en tout lieu, un clown bien connu a, par exemple, les siennes le matin en se rasant, et ça peut arriver aussi quand on est aiguillonné par une conversation pétillante, alimenté par deux ou trois verres de bon vin. Chacun a ses méthodes...
Mais, en fine mouche que je suis, le coin de table, qui hante tant la pensée baroinesque, ne me semble pas être d'une origine aussi simple: c'est freudien. Il faut faire appel à la psychanalyse, au ça, au moi et au surmoi, surtout au surmoi qui semble particulièrement développé chez ce personnage. Oui, que s'est-il donc passé un jour sur un coin de table pour qu'il l'obsède autant? Je me perds en conjectures...
Le Pied-Tendre Baroin vient de mettre fin à sa carrière politique en dévoilant le socle de sa pensée profonde, les bases sur lesquelles il a construit ses convictions qu'on ne peut pas dire baignées par le respect du peuple dans sa souveraineté et de ses élus dans leur légitimité. C'est une faute majeure, aberrante de la part d'un politique arrivé à ce niveau, mais la vision de l'enregistrement en confirme toute la sincérité, toute l'authenticité: c'est un débit continu de paroles sans l'ombre d'une hésitation ni d'un doute. Ce monsieur ferait mieux d'aller exercer ses talents dans une dictature, il en existe toujours....
Il me reste encore à comprendre pourquoi il en veut tant aux coins de table. Quand des amis se rencontrent au restaurant, c'est souvent qu'au cours de la conversation s'élaborent des projets de toute sorte. Parfois un convive prend des notes sur la nappe en papier: c'est le coin de table. Les coins de table de Picasso étaient très convoités par les serveurs...
Pourquoi le Pied-Tendre Baroin a-t-il une telle haine envers les coins de table? Baroin a l'air de nous dire que les bonnes décisions se prennent quand on est seul, bien assis devant son bureau, mais, c'est le propre des idées, celles-ci se manifestent en tout moment et en tout lieu, un clown bien connu a, par exemple, les siennes le matin en se rasant, et ça peut arriver aussi quand on est aiguillonné par une conversation pétillante, alimenté par deux ou trois verres de bon vin. Chacun a ses méthodes...
Mais, en fine mouche que je suis, le coin de table, qui hante tant la pensée baroinesque, ne me semble pas être d'une origine aussi simple: c'est freudien. Il faut faire appel à la psychanalyse, au ça, au moi et au surmoi, surtout au surmoi qui semble particulièrement développé chez ce personnage. Oui, que s'est-il donc passé un jour sur un coin de table pour qu'il l'obsède autant? Je me perds en conjectures...
Ce monsieur est aigri et/ou surmené...
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