Quand j'ai préparé ce post ce matin je n'étais pas encore au courant des attaques terroristes de Bruxelles. Il est bien évident que si j'avais su, il aurait été tout autre. Je suis en colère mais pour l'heure je ne vais pas m'étendre davantage sur ces immondes de merde de cette religion de merde. Mais que la vie, la vraie, celle du respect de l'autre, continue. Donc voici, après quelques hésitations :
Choses étonnantes...
D'exploitation de concept en exploitation de concept, un chef français, Valentin Néraudeau, a repris celui lancé par Adrian De Berardinis et il nous présente des recettes en les réalisant torse nu. C'est un beau garçon et je ne vais pas m'en plaindre d'autant que je vais, grâce à lui, améliorer mes performances culinaires, mais il devrait, pour mon plaisir, aller plus loin. Je n'en apprendrais les tours de mains que mieux....
Choses étonnantes...
D'exploitation de concept en exploitation de concept, un chef français, Valentin Néraudeau, a repris celui lancé par Adrian De Berardinis et il nous présente des recettes en les réalisant torse nu. C'est un beau garçon et je ne vais pas m'en plaindre d'autant que je vais, grâce à lui, améliorer mes performances culinaires, mais il devrait, pour mon plaisir, aller plus loin. Je n'en apprendrais les tours de mains que mieux....
Parlant de desserts, j'ai eu eu mon effet madeleine ce matin. J'ai acheté hier un dessous de plat en fonte émaillée, un peu abîmé d'ailleurs, mais témoignage d'un passé qui fut et qui a disparu. pour le donner à D. qui est toujours à la recherche d'objets pour son Musée des commerces et des savoir-faire d'autrefois, don qu'il a tout juste accepté parce que, m'a-t-il rétorqué, des dessous de plats il en a des tas. Moi aussi, six ou sept, ou plus, et il y a des limites à ne pas dépasser pour un simple quidam. Ceci dit j'ai très bien vu que l'objet portait une marque presque illisible parce que recouverte d'émail.
D. qui est un fouineur hors pair, vient de m'envoyer le résultat de ses recherches. J'ai aussitôt tilté sur le nom de ce petit maître de forges qui œuvrait dans son usine de la vallée de la Meuse dans les années 1930, bassin industriel réduit à sa plus simple expression aujourd'hui. Retiré dans le village de mon enfance, si c'est lui, mon père allait lui rendre visite tous les dimanches à la sortie de la messe. Je l'ai connu. Je me souviens qu'il avait donné des outils à mon père et un petit carnet sur les cotes des cônes morse. Tout cela m'a fait replonger dans des souvenirs de mon enfance dans cette petite commune qui vote maintenant à 50% pour le Front national.
Je vais demander à mon frère, qui est en ce moment en bas près de mon père, de lui en parler et d'avoir plus de détails pour savoir si c'est bien de lui qu'il s'agit..
Je viens te visiter pour la photo du mois, et je tombe sur ce dessous de identique à un que j'ai bien connu et qui est toujours chez ma mère. Ça me fait sourire que tu viennes de la Meuse , car moi aussi. Bon je n'y ai jamais vécu, mais j'y suis née.
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