Voilà un Noël gâché pour un peuple et même pour tous les peuples d'Europe. Un pakistanais, ou un afghan, ou un tunisien, n'a rien trouvé de mieux que de foncer dans la foule à Berlin avec un camion en faisant 12 morts et 50 blessés...
Je ne vois pas ce que l'Allemagne a à voir avec le bourbier islamique du Moyen Orient, en quoi les Allemands ont fauté dans les luttes intestines que se livrent les adeptes de cette monstrueuse religion qui pourrit la vie du monde entier, mais c'est comme cela, il se trouve des abrutis musulmans pour estimer que vivre libre, aimer fêter Noël, se réunir en famille ça ne peut qu'être combattu et ça mérite qu'on écrase des innocents avec un camion...
Je vais m'arrêter là. Mon dégoût est total. Mes pensées vont vers ces morts, ces blessés, ces familles dont je me sens totalement solidaire...
Les 13, 14 et 15 novembre 2015 j'ai campé nuit et jour devant ma télé. Je sais depuis que cela me rappelait un traumatisme ancien, mais ces 3 jours là, à part manger et m'endormir de temps en temps, j'ai posé un acte d'une irrésistible nécessité, en pensant aux laïcards collabos qui crachent sur Noël : dès le 14 au matin j'ai fait mon arbre de Noël, et l'ai laissé clignoter jusqu'au jour de la galette des Rois. Et je ne suis ni royaliste ni croyante.
RépondreSupprimerC'est le titre de votre article qui m'a attirée chez vous. Mais pourquoi pas "Je suis Noël" ? Le bourbier islamique ne sévit pas qu'au Moyen-Orient.
et dire qu'il y a des abrutis qui veulent la fin de l'état d'urgence
RépondreSupprimerLe jeune réfugié Pakistanais est innocent et libéré ! Faire silence est un art !
RépondreSupprimerOui en effet. Mais j'ai 90% de chance que le terroriste soit un réfugié venant de ce pays ou d'un pays voisin. On verra bien si on le retrouve...
RépondreSupprimerLes statistiques sont aussi un art...
finalement c'était pas un pakistanais
Supprimerc'était un tunisien
réfugié tout pareil
enchristé en Italie après avoir foutu le feu à une école , puis divers larcins ....
je me demande au nom de quoi nous sommes tenus d'héberger toute cette chiourme malfaisante