Je suis très abattu par cette guerre en Ukraine qui ne fait que réveiller de vieux souvenirs quand un autre fou furieux était à la tête de l'Allemagne.
Mais la situation est fondamentalement différente, il n'y avait pas alors la bombe atomique et ça change tout. Je n'ose pas imaginer le cataclysme nucléaire et la Terre devenue invivable, et pourtant Poutine, dans sa folie l'a évoqué. Il a largement de quoi faire. Une bombe suffirait à raser Paris, quelques bombes lancées sur nos centrales nucléaires rendraient la France inhabitable pour des siècles.
Et donc pour que ça n'arrive pas avec les ripostes des USA, de la France, du Royaume Uni, autres nations nucléarisées qui détruiraient la Russie en réplique, on va le laisser envahir l'Ukraine en espérant qu'il s'arrêtera là et on va entreprendre une guerre larvée de sanctions qui ne sera pas sans conséquences sur notre vie ici, des restrictions à prévoir etc, tout en essayant de négocier avec ce paranoïaque.... Et il faudra accueillir des milliers de réfugiés qui ne vont pas manquer de déferler dans l'Europe de l'Ouest.. Mais franchement, je ne vois pas d'autre solution raisonnable.
Il est certain que les alliés ont mis en alerte toutes leurs défenses nucléaires, que les sous-marins sont en train de se repositionner au cas où, etc...
Tristes prédictions. Je soutiens bien sûr notre Président qui doit gérer la pire crise qu'ait connue l'Europe depuis la fin de la seconde guerre mondiale.. J'espère qu'on s'en sortira le mieux possible..
Si je me souviens bien, Poutine avait tenté de s'approcher de l'Union européenne au début de son ascension et on l'avait repoussé. L'animal aurait été blessé dans son orgueil incommensurable...
RépondreSupprimerD'après ce que j'ai pu en lire ou apprendre, le "traumatisme" originel de Poutine serait beaucoup plus ancien et remonterait à la chute du rideau de fer qu'il a attribué à l'Occident sans réaliser que c'est finalement l'idéologie de son pays qui en était la cause par une immense faillite économique générée par les pays satellites qui mendiaient des subsides.
Supprimer