Nous sommes entrés dans la zone des turbulences olympiques. Aujourd'hui deux directs de plusieurs heures sur les deux premières chaines pour nous montrer les ronds dans l'eau du Belem dans la rade de Marseille avec les commentaires hyper répétitifs des commentateurs commentant comme ils peuvent l'arrivée de la flamme olympique enfermée dans une lampe de mineur qui du coup est devenue une lampe majeure. Je souhaite, bien entendu, le succès de ces Jeux olympiques, mais je sens qu'on va en prendre plein la tronche sans pouvoir éviter les exploits, les records, les moments d'histoire, les interviews, les superlatifs, les hyperboles, les pâmoisons et tous les tralalas des uns et des autres, chargés d'inviter le bon peuple à partager des moments de gloire...
Je pense que je vais me mettre en congé de ces suffocations planétaires, et que je n'en verrai que quelques brefs instants. Je plains les Parisiens.
Les policiers municipaux, eux aussi, ont déposé un préavis de grève olympique. Les traditions se perpétuent...
Deux femmes ont été mises en examen mardi 7 mai dans le cadre d'une information judiciaire ouverte après que cinq œuvres du Centre Pompidou-Metz ont été taguées, notamment «L’Origine du monde» de Gustave Courbet (1866), a-t-on appris auprès du parquet.
Dans le détail, les deux femmes nées respectivement en 1986 et 1993, «ont été mises en examen notamment pour dégradation en réunion d'un bien culturel et vol en réunion d'un bien culturel», a précisé Yves Badorc, procureur de la République à Metz. Ça ne s'arrange pas dans le cerveau rétréci des Me-touffes.
Pour ne pas être en reste et rétablir la sacro sainte parité, je poste ici ma version masculine de la chose que j'ai intitulée le Centre du monde, histoire de reconnaître la place que tout cela tient dans la vie de chacun.
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