J''ai regardé la dernière intervention dans les médias de Bayrou, hier sur la 5. Face à des journalistes prétentieux et quelque part pitoyables et assez médiocres, il a une fois de plus redit son crédo face à ce mur de la dette qui ne fait que croitre. Je l'ai trouvé fatigué, cherchant ses mots et il est évident que les carottes sont cuites en ce qui le concerne et je note aussi, en ce qui nous concerne, que le bordel qui va s'en suivre ne fait que commencer. Pauvre France !
Trouver une majorité de gens de bonne volonté, pragmatiques et réalistes qui oseront utiliser le mot effort face aux assistés que nous sommes tous, semble impossible dans notre pays divisé maintenant en trois blocs dont deux au moins n'ont en aucun cas envie de faire des compromis. Le mélenchonisme me dégoûte autant que le lepenisme, aussi ravagés l' un que l'autre et étant bien incapables de gérer utilement notre pays...
Demain, donc, marquera le début du chaos qui sera aggravé deux jours après par des assistés qui vont tout bloquer pour avoir encore plus d'assistanat. L'Etat nounou a pourtant largement dépassé ses limites comme en témoigne le montant de cette dette qui nous entraine vers les bas fonds...
Dans le chapitre des gaspillages, celui-ci par la maire de Strasbourg qui paye un "artiste" pour peindre un grand mur où il exprime sa vision d'un véhicule imaginaire. Je me demande combien de jours il faudra pour que les tagueurs reprennent possession de cet endroit ou que l'extrême gauche n'y recolle ses affiches.
Lorsque j'ai demandé à "l'artiste" combien il était payé pour son œuvre, celui-ci n'a pas voulu me le dire. Alors, madame la maire, vous qui avez lourdement endetté la ville de Strasbourg, et puisque tous les chiffres doivent être publics, combien la peinture de ce mur va-t-elle coûter à Nicolas qui paiera ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire