dimanche 9 septembre 2007

Anniversaire

Ça fait deux ans que je blogue. Environ 750 notes et autant de photos.

28163 visiteurs. Mois record: mai 2007 avec 3579 visiteurs. Les visiteurs viennent à 80% pour les photos. C'est Google qui mène la danse d'une manière cyclique suivant l'indexation qu'il accorde à mon site: il y a donc des hauts et des bas.

Les mots clés de recherche sont souvent à connotation sexuelle (salope, soumis, minet..). Une rareté parmi ceux-ci: " analyse du poème la nuit d'août" ce qui montre qu'il y a des élèves qui sont devenus un peu faignasses... Dans les photos un succès: celle d'une ceinture de chasteté...

J'ai quelques lecteurs réguliers que je salue cordialement ici, et d'autres, répartis dans le monde entier, qui ne font qu'un bref passage. Quelques proches aussi qui me parlent à l'occasion de ce que j'écris et qui m'ont demandé, une fois ou l'autre, de rectifier, bien volontiers, certains propos. Je fais donc très attention de ne pas blesser quite à ce que le contenu semble parfois un peu décérébré.

J'ai beaucoup de plaisir à décrire méthodiquement mon vide. Le quotidien que je raconte laisse sa trace de redites, de ritournelles, de logorrhées parfois, mais c'est le quotidien dans toute sa splendeur. Si j'éprouve des doutes, de temps à autre, devant ma page blanche, dès que les premiers mots sont couchés, le reste vient dans un flot tranquille comme par enchantement. J'espère que l'enchantement n'est pas que pour moi et que mes textes, que j'affine du mieux que je peux, sont agréables et légers à lire. J'aimerais atteindre la musicalité des mots, donner une sonorité à mon écriture, orchestrer mes histoires, mais là il ne faut pas que je rêve, c'est de talent dont il s'agit et si j'en avais ça se saurait....

Quoiqu'il en soit mon vide ne cesse de me préoccuper et j'aime bien en parler. Je le fais en toute franchise, ce qui constitue, à mon sens, le côté humoristique de l'entreprise. Voilà. Deux ans... Je vous invite, chers amis lecteurs, à continuer à me suivre dans ma sidération, toujours intacte, devant le vide sidéral, et, puisque je dis qu'il y a du bonheur partout, essayez de me croire. Vous verrez, ça marche!...

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