Le scénariste le plus zarbi n'aurait jamais osé écrire le scénario qu'on voit se dérouler sous nos yeux. Fion est complètement à la masse dans son obstination désespérée, et ceux, radicalisés, qui le soutiennent encore sont atteints eux-aussi, au point que si on leur pose la question " si Fion perd, qui choisirez-vous entre Le Pen et Macron ?", ils ne veulent pas se prononcer entre un gentil garçon au centre de l'échiquier politique et une folle ravagée qui va ruiner la France....
Ils sont complètement fous! Les dégât collatéraux sont immenses. Les Français en ont marre de ce cirque et quand on lit le sondage qui annonce que si Juppé remplace Fion, Juppé l'emporte, on se dit que Fion n'est qu'un sombre abruti obstiné qui emmènera la France au chaos s'il est élu... N'étant même pas à l'écoute de ceux qui l'entourent, il ne sera jamais, mais jamais de jamais, à l'écoute du peuple....
Je ne pensais pas voir le camp des Républicains si divisé, si borné, et ce qu'a dit Fion de ceux qui l'ont quitté, "la fuite en canard, d’un camp vers un autre, d’un hiérarque vers un autre, vers la circonscription, le portefeuille. La désertion assumée, sans honte et aussi sans orgueil. Se sauver soi-même...", annonce des lendemains joyeux....
Les soubresauts de cette campagne promettent toutes les catastrophes dans son quinquennat à venir si par malheur Fion est élu....
Un pays attend de son chef qu'il ait une connaissance de la situation actuelle et qu'il prépare l'avenir en y ayant réfléchi. Si ce candidat s'était formé avec lucidité à la carrière politique, il aurait choisi la voie honnête (même par simple calcul) pour se singulariser de son cercle élitiste qui plombe la France. Cher ami, cesse de verser ton fiel sur ces pourris, tu te ronges les tripes et envoies plein de vibrations nuisibles à travers ton pays qui se noie dans sa négativité. Cultive la positivité, ça nous fait rajeunir.
RépondreSupprimerOui, tu as raison. J'ai encore à faire les finitions dans ma salle de bain, je crois que je ferais mieux de m'y mettre au lieu de vociférer contre cet abruti...
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