mercredi 21 septembre 2022

Le nez dans le ruisseau...

 

On sous-estime trop la Rousseau. Elle vient faire preuve de son pouvoir maléfique en dynamitant Bayou, son chef des écologistes, en lui collant une tentative de suicide sur le dos sur fond de violences conjugales.

Elle n'a pas fini de dézinguer pas à pas, étape par étape, se dézinguant en fait elle-même par ses déclarations absolument imprévisibles et incontrôlables. Qui peut s'allier avec une instable pareille ?

J'attends le jour où son mari déconstruit  prendra la parole lui aussi pour nous détailler quelques hauts fait d'arme de cette rombière à la dent dure qui se prétend écologiste. Selon la règle "c'est toujours ceux qui font le plus de reproches aux autres qui ont le plus de choses à cacher", vivre avec la Rousseau ça doit être gratiné.  Je plains cet homme !

D'une certaine manière elle nous donne aussi des pistes pour l'exercice du droit à la paresse  qu'elle aime tant,  et exerçant ce droit, Bayou et Quatennens se mettent  en congé de leurs responsabilités, mais restent députés sans en branler une pour continuer de toucher les mannes de l'Etat.  Un exemple qui va en inspirer plus d'un, et je serai peut-être  candidat aux prochaines législatives pour tenter ma chance...

Ceci dit, je reste partisan de la présomption d'innocence. Le problème dans ces deux cas c'est qu'ils ont avoué la réalité de ce qu'on leur reproche en se "mettant volontairement en retrait" de leurs fonctions...

J'ai vu la tronche et l'élégance façon vrai pauvre des LFI  lors de leur dernière conférence de presse: un concentré  de la vulgarité  et de langue de bois à la trotskiste d'époque révolution de 1917 pur jus pour tenter de justifier le tweet  de leur gourou qui n'a pas eu un seul mot compassionnel pour la victime de  Quatennens... Où va-t-on ?

2 commentaires:

  1. Dieu sait que je ne porte pas plus que vous cette bande de guignols asilaire dans mon cœur, mais je suis à peu près certain que la grande brune à l'extrême droite (pardon !) de la photo, eh bien… elle doit être “bonne sous l'homme”, comme je suppose qu'on n'a plus le droit de dire !

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