Oh la la !

 

"Il n'y a pas de consensus aujourd'hui pour envoyer de manière officielle, assumée et endossée, des troupes au sol. Mais rien ne doit être exclu, nous ferons tout ce qu'il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner", a déclaré Emmanuel Macron  à l'issue d'une conférence de 27 pays organisée à Paris, dont  21 chefs d’Etats et de gouvernements européens,  pour discuter du soutien militaire et financier à Kiev.

Le Président  a également annoncé une coalition pour la livraison de "missiles et bombes à moyenne et longue portée qui sont extrêmement importantes pour les Ukrainiens", sans donner davantage de détails.

Emmanuel Macron a rappelé que la "défaite de la Russie est indispensable à la sécurité et à la stabilité de l'Europe".

"Sur le front ukrainien, les positions sont de plus en plus dures et nous savons aussi que la Russie prépare des attaques nouvelles, en particulier pour sidérer l'opinion ukrainienne", a déclaré le président français en ouverture des discussions.

Voilà qui annonce un durcissement de part et d'autre de la ligne de front..

Ce durcissement correspond à un ramollissement de la gôche, comme Mélenchon, la carpette  de Poutine qui écrit  :  " L'envoi de troupes en Ukraine ferait de nous des belligérants. La guerre contre la Russie serait une folie. Cette escalade verbale belliqueuse d'une puissance nucléaire contre une autre puissance nucléaire majeure est déjà un acte irresponsable. Le Parlement doit être saisi et dire non. Pas de guerre ! Il est plus que temps de négocier la paix en Ukraine avec des clauses de sécurité mutuelle !", ou comme cette autre carpette  qui a déjà  perdu avant d'avoir commencé   " Oui, il faut reprendre la voie du dialogue avec Poutine pour trouver un accord de paix acceptable, très probablement sur la cession par l’Ukraine des territoires annexés par les Russes."

Marine Le Pen, pro Poutine, se contente de commenter la situation :  "Je ne sais pas si chacun se rend compte de la gravité d’une telle déclaration. Emmanuel Macron joue au chef de guerre mais c’est la vie de nos enfants dont il parle avec autant d’insouciance. C’est la paix ou la guerre dans notre pays dont il s’agit."

Evidemment, il s'agit d'un moment dramatique et non d'insouciance de la part des Européens et si nous voulons qu'à terme nos enfants ne soient pas obligés d'apprendre le russe, il faudra peut-être y aller....

Restons cependant positifs. Cette fleur annonce le printemps..