vendredi 27 mai 2016

Du blocage...

L'escalade et l'hystérisation de la situation par la CGT ne m'étonnent pas. Bloquer les trains, les centrales nucléaires, bloquer les stations service, bloquer les journaux, que ne bloque pas la CGT, le syndicat  archéo-stalinien bloqué d'avance  et qui ne changera jamais !
Qu'est-ce qui reste à bloquer encore?
L'assemblée nationale dont un envahissement est toujours possible par des gens qui bloquent le mot démocratie dans le sens qui les arrange,
les hôpitaux avec des blocages toujours à craindre, mais malheureusement il n'y aura pas grêve des maladies et des décès,
l'Euro de Football,  opération déjà lancée par des appels à la gréve illimité du métro, des trains, mais pas encore des arbitres, pour diffuser dans le monde entier une certaine image de la France,
l'éducation nationale, où la CGT pourrait bloquer les examens et les attributions de diplômes,
les transport aériens pour bloquer le tourisme ( je crois que c'est 7,5 % de notre PIB) pour ainsi mettre tout un secteur en difficulté,
les ports, pour faire la fortune   d'Anvers et de Rotterdam qui récupèrent du trafic  à chaque grève de la CGT qui bloque les nôtres,
les chantiers navals de St Nazaire, secteur qui sort enfin la tête de l'eau et qui embauche, ce qui supprime des chômeurs et des mécontents, ce que déteste plus que tout la CGT, le syndicat qui crée du chômage,

Bref, j'arrête là, beaucoup d'autres blocages potentiels sont encore fort possibles, faisons confiance à l'imagination des damnés de la terre, et je ne doute pas que les hystérico-staliniens auront à cœur de mettre la France à genoux.

Je soutiens à fond Valls et Hollande, et je leur demande de ne pas céder quitte à souffrir un peu ou beaucoup. Il faut enfin réformer notre pays, le tourner vers l'avenir et non le bloquer dans le passé...


2 commentaires:

  1. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  2. Comme souvent, je ne partage pas ton analyse. Tu me répondras: de quoi te mêles-tu étranger! C'est en effet difficile de comprendre ce qui se passe actuellement. J'ai l'image du poulailler industriel de l'Ain où par manque d'inspection sinon compromission on a laissé se dégrader une situation aussi malsaine pour les consommateurs d'oeufs que déplorable pour les animaux. En France on ne connaît pas l'art du compromis qui permet aux personnes engagées dans une situation critique de trouver une solution qui ne coupe pas le bec, qui n'humilie pas, qui ne traîne pas les uns et les autres dans la boue. En Allemagne comme dans mon pays, on affronte les problèmes en tentant d'apporter des solutions, que ce soit dans la famille, dans l'industrie et la politique. On n'y parvient pas rapidement, parce qu'on n'a pas beaucoup d'idées brillantes, mais il y a suffisamment de pétrole...

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