vendredi 10 novembre 2023

Manifestation

La gauche se déconstruit, ce qui doit faire plaisir à la toquée  Rousseau, adepte de déconstructions en tous genres. L'espèce de dictature bolivaro-mélenchoniste explose sous les soubresauts de ses propres contradictions. Ces adeptes du référendum pour tout et en particulier pour invalider les élus qui déçoivent, entendent prospérer dans une structure opaque, vouée à l'adulation du messie-conducator, sans démocratie interne, sans consultation de quiconque, sans vote des adhérents, aux objectifs flous, sauf d'être contre tout et de semer une merde dont tout le monde se souviendra. 

Le conducator bolivaresque est donc logiquement contre cette marche contre l'antisémitisme  de dimanche prochain, et deux contres faisant un pour, on a peur de comprendre dans quel camp il se trouve maintenant.

L'antisémitisme n'a rien à faire en France. Malheureusement la religion d'amour  importe ici  ses ombres et ses haines millénaires conformes à certains versets du Coran. Le Hamas ne se cache pas pour dire qu'il veut exterminer tous les juifs de la terre  et les actes antisémites ont explosés depuis un mois. 

"Le CFCM comprend la réticence des musulmans de France à défiler dimanche prochain aux côtés de racistes anti musulmans déclarés et assumés. Il laisse à ses concitoyens la libre appréciation de participer ou non à la marche du dimanche prochain.".  Le CFCM comprend Mélenchon
J'imagine qu'il n'y aura pas beaucoup de musulmans dans les cortèges dimanche, à part  certains immams que je trouve bien courageux et quelques apostats.
  
Le Rassemblement national en sera par contre...  Pour se racheter une  conduite...

3 commentaires:

  1. Je ne suis pas d'accord : deux contre ne font pas un pour ; en tout cas, pas de façon systématique. De même que deux "anti" ne font pas un "pro".

    Ainsi, on peut fort bien être anti-antiraciste, vu les aspects peu ragoûtants que prennent les mouvements antiracistes, sans être le moins du monde raciste soi-même.

    Pour ce qui concerne Mélenchon, même si je l'aime à peu près autant que vous l'aimez, je ne crois vraiment pas qu'il soit antisémite. Son refus semble tenir davantage à la tactique politicarde.

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  2. Je vois que vous ne mettez pas d's à contre. Je me suis posé la question et je pense qu'il en faut un. Dites-moi...
    Mélenchon n'est certainement pas antisémite, mais ses attitudes sont telles, que tout le monde s'interroge là-dessus...

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    1. Dans ce cas précis, je “sens” plutôt contre comme préposition que comme nom. Mais je reconnais que ma position n'est pas très solide et je ne me battrais pas pour la défendre.

      En bref, il y a du pour et il y a du contre…

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