Une nouvelle manifestation est prévue dimanche à Paris, cette fois-ci pour réclamer la paix. Il n'est pas interdit de rêver, mais le traumatisme est tel en Israël qu'il ne faut pas espérer l'arrêt des combats contre le Hamas avant longtemps. C'est aussi une question de survie pour ce petit état perdu dans un environnement qui lui est totalement hostile.
Et puis il y a ces 240 otages dont ils espèrent sauver le plus grand nombre. Le Hamas n'est pas près de les rendre et vu les méthodes qu'il utilise beaucoup d'entre-eux ne reviendront pas, ouvrant de nouvelles blessures entre les deux peuples.
Le chef du Hamas, Khaled Mashal, riche de 5 milliards de dollars, fortune dont on se demande d'où elle vient, vit dans l'opulence et donne ses ordres depuis des palaces du Qatar, ce qui n'empêche pas notre extrême islamo-gauche, les Soudais, les Caron, les Giraud, de le soutenir et de ne pas être émus plus que cela par la vision du film qui montre les horreurs du pogrom du 7 octobre.
Le peuple palestinien est l'autre victime du Hamas qui n'a jamais hésité à tirer à balles réelle pour réprimer toute tentative de contestation des Gazaouis comme ce fut le cas le 30 juillet dernier.
La situation est inextricable et bien malin est celui qui peut prévoir comment tout cela va se terminer. Si l'on ajoute à ce drame la guerre en Ukraine, l'hiver s'annonce particulièrement rude...
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