Chose étrange, j'écoute de la musique en l'Île et rarement au Sanctuaire. J'ai un beau programme qui m'attend à chaque séjour, l'intégrale de Bach et l'intégrale de Mozart. J'en suis à 25% d'écoute de l'une et 15% de l'autre de sorte qu'il me faudra encore beaucoup de temps d'oreille pour en venir à bout, mission impossible, d'autant que je me scotche très souvent sur des airs ou des passages qui me plaisent et je ne passe plus qu'eux pendant trois ou quatre jours, la félicité qu'ils me procurent m’empêchant d'aller écouter ailleurs...
Cette fois-ci, j'ai fait un effort, me suis extirpé de ma routine et me suis risqué sur un opéra de Gluck (1714-1787) qui attendait depuis un certain temps d'émerger de son codage binaire. Premier CD, pas de problème, il est passé comme une lettre à la poste. Deuxième CD: "ah!, cet air me dit quelque chose, il me semble que je l'ai déjà entendu. Magnifique! Ah oui, c'est connu. Ça devait être dans un film? C'est triste, c'est décadent, c'est un monde qui disparaît, etc...." Et me voilà scotché une fois de plus, passages en boucle et j'en suis resté là, au point que cet air me trotte toujours dans la tête et que je vais traîner ça pendant un certain temps... Je vous en fais profiter plus bas dans sa version française...
Sinon, je fais une petite étape à Paris. Je voulais rentrer au Sanctuaire tout à l'heure, mais non. Comme c'est le premier dimanche du mois et je crois que l'entrée est gratuite, j'irai peut -être traîner mes fesses cet après midi vers le musée du Louvre, on verra bien. Hier soir je les ai emmenées au Keller où il y avait une nuit XXX. Oh la la...!
Oh la la...! écris-tu, paresseux, au lieu d'achever ton devoir de blogueur, sinon, au moins de blagueur.
RépondreSupprimerJe ne voudrais pas choquer...
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