Horreur, malheur !

Plongeons-nous dans l'horreur et voyons quelle serait la France de Marine Le Pen si elle avait gagné l' élection de 2017.

Elle aurait aussitôt entrepris la sortie de l'Europe et de l'Otan et se serait rapprochée de la Russie. Abandon de l'euro et retour au franc.  Actuellement elle serait complice de la guerre en Ukraine. 

Petit à petit le franc aurait été dévalué et les approvisionnement en énergie auraient été de plus en plus difficiles. Des industries se seraient délocalisées pour rester dans la zone Euro, créant beaucoup de chômage en France.

Pour essayer de lutter contre l'inflation, elle aurait tenté de bloquer les prix ce qui aurait eu pour effet de restreindre l'offre et ça aurait entraîné des jacqueries dans les campagnes.

Pour sa politique migratoire, faute d'avoir pu modifier la Constitution par le référendum qui aurait été rejeté par la majorité des Français, quelques 30000 migrants auraient pu être renvoyés après des procédures longues et coûteuses, au prix de tractations difficiles avec les pays de retour.  Ses camps de rétention auraient fait l'objet de condamnation internationales par la Croix Rouge et les divers organismes de Défense des droits de l'homme

Obligée de se lancer dans le troc suite à la dépréciation du franc, complètement débordée dans les négociations internationales, incapable de gérer correctement, elle aurait donné les ports de Marseille et du Havre aux Russes en échange de blé  et de pétrole.  Les Chinois se seraient rendus acquéreurs de la majorité du réseau autoroutier en échange de circuits intégrés nécessaires à ce qui serait resté de l'industrie automobile et de la fourniture de téléphones portables et d'informatique, noyant au passage la France de logiciels espions. Elle aurait accepté que les chaines de fabrication d'Airbus soient relocalisées en Chine.  

Pour le covid les Français auraient été vacciné avec le vaccin russe qui ne vaut pas un clou.

Beaucoup d'intellectuels auraient émigré dans les pays limitrophes de la France, accentuant les déserts médicaux et entraînant le déclassement de l'université au niveau international, particulièrement à la suite de la coupure et du filtrage d'Internet, permettant aux Russes  d'étendre leur influence sur le pays.

Certains proches de la présidence  pas insensibles aux bakchichs auraient traficoté pas mal de marchés publics permettant ainsi l'émergence  d'une oligarchie qui aurait fait les beaux  jours des paradis fiscaux.

Les médias seraient sous surveillance. Une importante valse de dirigeants et  de journalistes aurait eu lieu dès les premiers jours de sa prise de pouvoir.

Elle n'aurait eu, dans le fond, qu'une seule ligne directrice : faire de la France la petite sœur de la Russie...