Le festival de Cannes qui ne m'intéresse pas plus que Roland-Garros ou la coupe de France de football, ou le Tour de France, s'est terminé en nous décrivant l'anatomie d'une chute.
Une certaine Justine Triet, dont je n'avais jamais entendu parler ( l'inverse est également vrai ), à peine récompensée de la Palme d'or, a tenu des propos mélenchonistes du plus bel effet, dénigrant son pays et ceci devant le cinéma mondial, rassemblé pour la circonstance.
J'ai aimé la réaction de Jane Fonda, 85 ans, toujours opportune, qui a fait le voyage depuis Los Angeles pour remettre la Palme d'or, qui lui a lancé son parchemin qu'elle ne voulait pas, une séquence désormais historique qu'on reverra quand on invoquera le cinéma français.
Je ne sais pas trop sur quoi a craché cette Triet, sur Macron ? sur la réforme des retraites ? contre de gouvernement ?, mais pour palper de l'argent public elle a palpé, et pour cracher dans la soupe, elle a craché...
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