Vendredi 4 août au matin à Cherbourg, dans le Cotentin, une jeune femme de 29 ans a subi un viol particulièrement atroce. Le violeur, corpulent, âgé de 18 ans, qui a été confondu par une empreinte qu'il a laissée dans l'appartement où il s'était introduit, a achevé son crime en enfonçant un manche à balai dans sa victime lui perforant successivement le colon, l'intestin grêle, le péritoine, le diaphragme, la plèvre, en fracturant même des côtes. La jeune femme qui a pu appeler les secours vers 8h30 a été opérée en urgence et plongée dans un coma artificiel d'où elle n'est pas encore sortie. Elle risque de faire un choc septique et elle est entre la vie et la mort.
Des membres du corps médical, pourtant habitués à voir de tout, ont dû se faire aider par des psychologues pour affronter la réalité barbare dont ils ont été les témoins.
L'individu déjà connu des services de police a été interpelé chez sa mère le 10 août.
Contestant d'abord toute responsabilité, il a fini par reconnaître laconiquement les faits "susceptibles de lui être imputés", selon le procureur de la République Pierre-Yves Marot.
Comment peut-on en arriver à cette barbarie qui demande de la force, comment peut-on faire abstraction des cris de la victime qui hurle de douleur quand on enfonce un manche à balai dans son corps, comment peut-on ensuite rentrer tranquillement chez soi comme si de rien n'était ?
On connait son prénom Oumar N. Il va faire l'objet d'examens psychologiques. Va-t-il être déclaré irresponsable ?
L'un des rares à gauche à avoir osé s'exprimer devant cette inhumanité est Olivier Faure qui a twitté : "un criminel doit être condamné pour ses crimes qu’ils s’appelle Oumar, Francis, Michel, Emile, Guy ou Patrice. La barbarie, la perversion, le vice n’ont ni couleur de peau ni nationalité. Se servir d’un acte odieux pour sous-entendre que les immigrés sont des violeurs est raciste", ce à quoi j'ai répondu : "
@faureolivier Olivier Faure -> Pas un seul mot de compassion pour la victime transpercée par un manche à balai du bas jusqu'à la hauteur des poumons. La culture musulmane ne prépare pas à l'égalité homme femme et au respect des femmes et ça on doit le dénoncer, que ça vous plaise ou non."
Oui, en effet, qu'a-t-on fait entrer dans la tête de ce monstre quand il était enfant et adolescent ?
Refrain connu : quand un islamopithèque commet une monstruosité de ce genre, les seules victimes au chevet de qui on se précipite, ce sont ses coreligionnaires qui, bien entendu, vont être encore plus victime de l'ignoble racisme des Français.
RépondreSupprimerJe note aussi que, parmi les six prénoms énumérés "au hasard" par le guignol politique que vous citez, cinq sont parfaitement français. Et on sent bien que s'il avait pu gommer ce fâcheux "Oumar" il l'aurait fait avec plaisir et soulagement.
Il fait allusion à Francis Haulme,, Michel Fourniret, Emile Louis, Guy Georges et Patrice Alègre...
SupprimerAvant de violer sauvagement une femme normande, Oumar faisait vivre l’enfer à ses voisines:
RépondreSupprimer« C’était le caïd du quartier, il nous faisait peur. À cause de lui, c’était devenu l’enfer. Quatre familles ont du déménager ». explique une voisine.
«Tous les soirs ou presque, Oumar Ndiaye et ses amis se retrouvaient au pied de l’immeuble. Ils se filmaient en hurlant des insultes, des N*que ta mère ,des horreurs dans le genre. On a appelé plusieurs fois la police, mais on nous disait qu’il n’y avait rien de grave… ». témoigne une autre voisine.
«Quand je rentrais de soirée, il me sifflait avec ses copains. Chaque fois, j’étais prise d’un mauvais pressentiment. Vraiment, aujourd’hui, je me dis que ça aurait pu être moi… »
Oumar était aussi connu pour avoir agressé sexuellement sa propre petite soeur de 4 ans et était violent avec sa propre mère. Des Oumars en liberté à cause du laxisme judiciaire, il y en a des milliers.