Je ne vois pas l'intérêt qu'il y a de commenter les élucubrations des cerveaux malades des LFI, chaque jour qui passe les poussant à manifester qu'ils existent bel et bien en inventant des nouveaux gémissements. On ne le sait que trop qu'ils existent ces désespérés qui, haïssant les Français, s'appuient, à défaut, sur une religion invasive, inhumaine et moyenâgeuse et s'il n'y avait pas ces médias d'infos qui doivent remplir leurs vingt quatre heures d'antenne quotidiennes avec ce qu'ils trouvent de tordu et qu'ils ramassent pour en faire des heures de bla-bla, on n'en parlerait guère.
Alain Delon, en mourant, a gâché leur dernière trouvaille, la destitution du Président de la République, rien que ça. Méritant amplement le titre de monstre sacré, c'est vers lui que se sont tournés tous les regards et c'est bien la moindre des choses quand il s'agit d'un acteur.
Sa beauté, bien masculine, lui a servi de laissez-passer pour entrer dans le monde du cinéma, mais, s'il n'avait pas fait d'études, il était intelligent et curieux et a empli sa vie à vouloir apprendre énormément de choses, d'autant qu'il a croisé ou rencontré tout ou presque tout ce qui comptait dans les années 60 à 80.
On lui reproche ses liens avec Le Pen père et son homophobie. Pour l'homophobie j'avais lu quelque part qu'il avait marché pendant un petit moment à la voile et à la vapeur, ce qui est vrai ou faux, mais un esprit curieux comme le sien, à la vie affective particulièrement instable, a dû aller voir ce qui se passait de l'autre côté du miroir. C'est de cette manière que je conçois les esprits évolués qui généralement veulent tout essayer et saisissent les occasions quand elles se présentent.
Il disait à la fin de sa vie qu'il avait effectivement tout essayé, qu'il était las et qu'il n'aimait pas le monde tel qu'il est devenu. On peut tout à fait le comprendre...
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