Le gouvernement veut durcir les règles concernant les migrants.
Face à la misère du monde, il faut faire preuve de réalisme : nous ne pouvons les accueillir tous et le plus logique serait d'accueillir des gens qui ont de sérieuses raisons de quitter leur pays puisqu'ils y sont en danger, qui ont toutes les chances de s'adapter et de s'intégrer dans notre société, qui ne nous haïssent pas fondamentalement, qui ne vivent pas dans une religion rétrograde et intégriste, qui respectent les femmes et les gays, bi, trans et nos règles de vie, et qui sont susceptibles de se prendre en charge rapidement sans demeurer un problème permanent, assistés jusqu'à la fin de leurs jours.
Le niveau de saturation pour la population autochtone me semble atteint. Quand je sors en ville, c'est simple, je n'entends plus parler français, je croise des groupes qui me semblent menaçants et de voir quantité de bâchées me confirme que pour l'ouverture d'esprit et l'intégration de certains, ce n'est pas prêt d'être gagné.
Même impression quand je suis à Paris. Le parvis de la gare du Nord est livré à tous les trafics, les couloirs du métro gare de l'Est sont squattés par les zigotos à la mine inquiétante et il y a des rues où je n'oserai pas aller... Je suis toujours étonné de voir des gens qui haïssent tant ceux qui les ont colonisés, qui nous accusent de racisme à la moindre occasion, chercher à vivre chez nous au lieu de rester chez eux avec les leurs et faire profiter leur pays de leurs compétences et de leur savoir.
Je soutiens Macron qui veut enfin contrôler la situation : faire un recensement fiable, savoir qui est qui, gérer les cas, renvoyer ceux qui n'ont pas de raison de rester chez nous et stopper les trafics en tout genre
Bien entendu des associations râlent au nom des grands principes. Mais elles devraient plutôt aller sur place inciter les femmes africaines à avoir moins de sept enfants chacune dont on se demande ce qu'ils vont bien pouvoir devenir...
Le maire de Strabourg dans son éditorial du journal municipal de novembre nous indique " C’est ainsi qu’en lien avec les services de l’Etat, nous
avons apporté des réponses personnalisées à chacune des personnes
qui se trouvaient dans le camp sauvage de la rue du Rempart;
selon leur situation, demandeurs d’asile, en cours de demande
ou déboutés ; selon leur état de santé; et selon la composition
des familles. Nous sommes heureux d’avoir pu apporter des
réponses adaptées au statut de chaque personne dans le respect
de son parcours et de ses droits et surtout dans la dignité." Plus loin, dans ce même bulletin municipal, un article nous raconte " La mère a les traits tirés,
mais elle ne quitte pas ses cinq
garçons des yeux. Deux d'entre
eux sont atteints de troubles
autistiques, mais ils n'ont jamais été
pris en charge. La famille a quitté les
Alpes albanaises et sa vie de misère il y
a quelques semaines pour un long
périple vers la France. Quelques jours
auparavant, ils étaient arrivés sur ce
campement sauvage installé depuis fin
mai, où de nombreux demandeurs
d'asile en provenance des Balkans, et
notamment d'Albanie, ont fait escale.(..) Pour la famille albanaise un hébergement a été trouvé dans le grand est.."
Plus loin on lit " la récente massification des arrivées sur notre territoire ne permet plus d'accueillir de nouveau arrivant.. les dispositif d'hébergement d'urgence de la région sont engorgés.."
Un nouveau camp sauvage a déjà remplacé le camp sauvage dont on avait relogé les occupants. On raconte que 5 hôtel de Strasbourg sont remplis par des roumains, sans compter les deux camps de caravanes et les autres camps sauvages qu'on voit s'installer en permanence de ci, de là... Que vont devenir ces 5 enfants albanais qui sont arrivés avec leur mère et leurs problèmes. A nous de trouver des solutions, ils sont là désormais...
Oui, il est temps de faire quelque chose... Je soutiens Macron...
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