De bonnes nouvelles nous arrivent de Chine : ils ont quasiment stoppé l'épidémie chez eux. Le confinement a fait logiquement ses preuves. Le virus étant éliminé chez les malades guéris et ne trouvant plus de nouveau corps à coloniser, il disparaît.
Sa progression exponentielle alarmante, confirmée de jour en jour dans le reste du monde, ne laisse pas de choix : étant donné qu'il n'y a aucun système sanitaire capable de recevoir et de traiter pendant vingt jours une quantité phénoménale de malades en détresse respiratoire, l'alternative entre un naufrage sanitaire et un naufrage économique est vite pesée.
Reste à savoir quand la France, et l'Europe, et les autres vont prendre les mesures que l'Italie s'impose déjà.
Comme de toute façon, il faudra en passer par là, le plus tôt sera le mieux, chaque semaine de retard multiplie les cas à hospitaliser par dix.
Paris compte déjà une quarantaine de malades et vu la promiscuité obligatoire pour vivre et se déplacer dans la capitale, ce chiffre va s'emballer jour après jour.
Donc, d'ici peu, chacun devra, si possible, éviter de sortir de chez soi. Ecoles fermées, transports au ralenti, rues désertes...
Restent les élections municipales. Elles tombent à un moment charnière. Les reporter de trois mois ou pas?
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