mardi 23 janvier 2024

Regards...

 

Amusant de constater que les jeunes hommes sont de plus en plus machos comme le souligne le Haut conseil à l'égalité entre les hommes et les femmes dans  son rapport annuel 2024 sur l'état du sexisme en France. 

Extraits : "le sexisme reste prégnant, s’aggravant même d’une année sur l’autre dans certaines catégories de population. Chez les jeunes adultes masculins, mais aussi parfois chez les femmes, on observe un retour aux valeurs traditionnelles : l’idée « qu’il est normal que les femmes s’arrêtent de travailler pour s’occuper de leurs enfants » gagne 7 points (34 %) chez les intéressées..... Chez les hommes, les réflexes masculinistes persévèrent : un quart des 25-34 ans pense qu’il faut parfois être violent pour se faire respecter."

Une bonne proportion de musulmans parmi ces jeunes, chez qui  la femme  tel que l'enseigne le Coran n'est pas  du tout, mais pas du tout destinée à devenir  l'égale de l'homme. Déjà avec le catholicisme ce n'était pas gagné, mais maintenant avec l'islam c'est foutu. Elles s'exhibent même dans les rues en tenues de soumises... Personne ne parviendra à renverser cette tendance et le Haut conseil peut déjà  écrire ses prochains rapports en recopiant celui de cette année....

Amusant de constater  que l'islamo écolo gauche manifestait en défilant dimanche contre la loi immigration, réclamant que n'importe qui puisse venir s'installer chez nous  sans qu'il soit question d'une quelconque régulation et que nous devions être là, au garde à vous, les doigts sur la couture du pantalon pour les accueillir tous, les satisfaire, etc..., etc...  Des bateaux entiers remplis  presqu'uniquement d'hommes musulmans accostent chaque jour dans les îles Canaries . Le machisme n'est pas près de faiblir.  

On nous dit que nous avons absolument besoin de cette main d'œuvre. Pourtant, hier, l'économiste en chef de la gauche écolo, du haut de ses compétences    nous a assurés clairement qu'on est assez nombreux comme ça pour faire tourner notre économie et qu'il n'est même pas nécessaire de faire plus de bébés...


De là je me pose la question du coût d'un mineur isolé et j'ai cette réponse prise aux meilleures sources qui date de 2021  :   "Dans l’entourage du Secrétaire d’État en charge de la protection de l’Enfance, on parle plutôt d’une fourchette entre 30 000 et 40 000 euros. Au détour d’un rapport de l’Inspection générale des Affaires sociales, page 101, on apprend que les Hauts-de-Seine évaluent le coût des MNA à « 2100 euros par mois », soit 25 000 euros par an."

Tout ça pour rapprocher ce chiffre avec ce que gagne un agriculteur. Il y a une grande disparité de revenus mais  TF1info note aussi que " la profession agricole ne rapporte plus suffisamment et 18% des membres des ménages agricoles vivent  sous le seuil de pauvreté en France, davantage que les membres des autres ménages ayant une activité (13%). En réalité, les agriculteurs tirent des bénéfices d’autres activités pour vivre, en majorité du salaire de leur conjoint. Les producteurs bovins tirent moins de ressources de leur activité puisqu’ils "gagnent en moyenne 38.060 euros par an, dont seulement 11.340 sont issus de l’activité agricole", soit seulement 30%."

Entre une gauche hors sol et le monde réel que chacun peut observer mon choix est vite fait.  Ajoutons les normes, règlementations, conditions de travail etc.., ce n'est vraiment pas étonnant que les agriculteurs grognent en ce moment... 

Cloche de comptoir vers 1900

3 commentaires:

  1. Source : Public Sénat.
    « 2022, c’était le plus gros revenu de toute l’histoire de l’agriculture », souligne l’agro économiste Jean-Marie Séronie

    Car selon Jean-Marie Séronie, il faut tordre le coup à l’idée que les agriculteurs se paient mal. C’est vrai pour certains d’entre eux, mais c’est loin d’être vrai pour tous. « Depuis 3-4 ans, le revenu est assez nettement en hausse dans la plupart de type d’exploitations. En 2023, il y a une baisse de 10 % par rapport à 2022, mais c’était le plus gros revenu de toute l’histoire de l’agriculture. 2023 se retrouve au niveau de 2021, qui était déjà une bonne année », souligne l’économiste.

    « Sur 2022, un agriculteur Français – ce sont les chiffres du ministère de l’Agriculture – a dégagé en moyenne 50.000 euros. C’est ce qu’on appelle le revenu disponible, c’est-à-dire ce qui lui reste quand il a payé toutes ses charges, la Sécurité sociale et remboursé ses emprunts. Cela lui sert à vivre et à investir », explique l’agro économiste. Pour connaître son revenu exact, il faut regarder ce qu’il prélève ensuite : « En gros, en moyenne, ce que prélève un agriculteur, c’est de l’ordre de 25.000 euros par an, soit 2.000 euros net par mois. Ce n’est absolument pas la misère que les gens imaginent ».

    RépondreSupprimer
  2. Les disparités existent et les fraudeurs aussi et beaucoup. Je vis en milieu rural et j'en connais qui déclarent des revenus assez exotiques au regard du domaine dont ils sont propriétaires, vergers, oliveraies, vignes et autres choses qu'on se doit de ne pas connaitre (tout comme les coins à champignons). Ils s'empêtrent dans les investissements de méga engins capables de faire vibrer les oliviers, vendanger afin d'économiser la main d'œuvre. les seuls qui sont à plaindre dans cette histoire c'est les journaliers et les saisonniers qui auparavant n'avaient que peu de droits, aujourd'hui plus de boulot.

    RépondreSupprimer
  3. Alors que des propriétaires gavés de subs pleurnichent à l'arrivée des élections ça n'étonne guère. Croire pouvoir les amadouer en leur balançant encore plus de pognon est un leurre puisqu'ils voteront comme d'habitude et de tradition pour le RN.

    RépondreSupprimer