Je me réjouis de l'abandon annoncé des accusations contre DSK. Au point où en sont les choses, ce n'est plus qu'une question d'heures. Du côté de la Banon ça va jeter un froid, mais un froid seulement car c'est loin d'être la fin des procès de la mère et de la fille. Peut-être finiront-elles, elles aussi, par sombrer mais ça se fera dans les plus extrêmes douleurs...
Le conflit se poursuit cependant entre la Diallo et DSK. Plaintes, procès, interventions médiatiques, demande de dommages, harcèlement judiciaire, on va avoir droit à toute la panoplie chicanière en usage des deux côtés de l'Atlantique avant que les hostilités ne cessent. Je serais de DSK je me rendrais tout de suite insolvable, ça règlerait tout. Ça en est indécent: qui est la victime dans cette affaire? La Diallo est une catastrophe pour la cause des femmes. J'attends de prochaines révélations sur son passé et son présent et je pense qu'on ne va pas être déçu.
Dès que je me suis fait une idée sur le profil psychologique de DSK, suite aux révélations engendrées par cette affaire, addict au sexe, partouzeur ..., je me suis dit que la violence, et surtout pas le viol ne pouvaient coller avec le personnage. J'ai trop fréquenté de lieux gores et de gens complètement perdus dans leur sexualité pour savoir que le consentement est une composante essentielle des plaisirs partagés en groupe. En tant que chasseur solitaire, c'eût été possible, mais pas en tant qu'amateur de sexualité collective: les partouzes sont les endroits de la terre où vous risquez le moins d’être violé...
Dès lors, bien malin qui trouverait des fragments d'épiderme sous les ongles de la Diallo, ou des griffures ou des coups sur le corps de DSK: les expertises n'ont pas justifié la moindre accusation.
Je ne veux pas terminer cette page sans décerner le prix de la commission d'éthique, dont il fait partie, à notre grand Professeur Debré, spécialiste comportemental en slips et en petites culottes qui s'est bien éclaté aux premiers jours de cette affaire. On ne peut que relire avec effarement ce qu'il a écrit à ce moment là :
« Trop c'est trop, vous avez humilié la France ! Vous l'avez ridiculisée. Les socialistes qui vous faisaient confiance doivent être rouges de honte et de fureur. […]Quand vous sortirez de prison, disparaissez dans votre ryad, ne vous justifiez pas, ne dites plus rien. Vous avez été une fausse valeur, un obsédé sexuel, un escroc intellectuel. Vous avez sali votre pays.Ce que je vous souhaite c'est maintenant de vous soigner, il existe des médicaments pour les délinquants sexuels. J'ai honte car vos frasques risquent une nouvelle fois de donner des voix aux extrêmes. Disparaissez et vite. »
Je me demande bien lequel ferait mieux de vite disparaître?
Le conflit se poursuit cependant entre la Diallo et DSK. Plaintes, procès, interventions médiatiques, demande de dommages, harcèlement judiciaire, on va avoir droit à toute la panoplie chicanière en usage des deux côtés de l'Atlantique avant que les hostilités ne cessent. Je serais de DSK je me rendrais tout de suite insolvable, ça règlerait tout. Ça en est indécent: qui est la victime dans cette affaire? La Diallo est une catastrophe pour la cause des femmes. J'attends de prochaines révélations sur son passé et son présent et je pense qu'on ne va pas être déçu.
Dès que je me suis fait une idée sur le profil psychologique de DSK, suite aux révélations engendrées par cette affaire, addict au sexe, partouzeur ..., je me suis dit que la violence, et surtout pas le viol ne pouvaient coller avec le personnage. J'ai trop fréquenté de lieux gores et de gens complètement perdus dans leur sexualité pour savoir que le consentement est une composante essentielle des plaisirs partagés en groupe. En tant que chasseur solitaire, c'eût été possible, mais pas en tant qu'amateur de sexualité collective: les partouzes sont les endroits de la terre où vous risquez le moins d’être violé...
Dès lors, bien malin qui trouverait des fragments d'épiderme sous les ongles de la Diallo, ou des griffures ou des coups sur le corps de DSK: les expertises n'ont pas justifié la moindre accusation.
Je ne veux pas terminer cette page sans décerner le prix de la commission d'éthique, dont il fait partie, à notre grand Professeur Debré, spécialiste comportemental en slips et en petites culottes qui s'est bien éclaté aux premiers jours de cette affaire. On ne peut que relire avec effarement ce qu'il a écrit à ce moment là :
« Trop c'est trop, vous avez humilié la France ! Vous l'avez ridiculisée. Les socialistes qui vous faisaient confiance doivent être rouges de honte et de fureur. […]Quand vous sortirez de prison, disparaissez dans votre ryad, ne vous justifiez pas, ne dites plus rien. Vous avez été une fausse valeur, un obsédé sexuel, un escroc intellectuel. Vous avez sali votre pays.Ce que je vous souhaite c'est maintenant de vous soigner, il existe des médicaments pour les délinquants sexuels. J'ai honte car vos frasques risquent une nouvelle fois de donner des voix aux extrêmes. Disparaissez et vite. »
Je me demande bien lequel ferait mieux de vite disparaître?
hé ben le Debré, il y va fort !!!!!!!!! de quoi, il s'occupe!!ppf!
RépondreSupprimerAttendons de voir le comportement et les propos que M. Debré tiendra lorsque DSK sera de retour en France. Je parie sur une bonne tranche de langue de bois et de fauxculserie de premier aloi !
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