Je me réjouis de la chute annoncée de Kadhafi. Au point où en sont les choses, ce n'est plus qu'une question d'heures. Du côté de Bachar al Assad ça va jeter un froid, mais un froid seulement car c'est loin d'être la débandade pour le régime syrien. Peut-être finira- t-il, lui aussi, par tomber mais ça se fera dans les plus extrêmes douleurs...
Le conflit repart entre la bande de Gaza et Israël. Roquettes, attentats, raids aériens de représailles, invasion punitive bientôt, ça va être une redite de ce qui s'est déjà produit. L'union européenne et d'autres pays donateurs enverront des aides pour reconstruire quand tout sera à nouveau détruit...
Quand j'ai lu les mémoires du Général de Gaulle, je suis resté scotché au moins deux jours sur cette phrase «Vers l'Orient compliqué, je volais avec des idées simples» qu'il poursuit par «Je savais qu'au milieu de facteurs enchevêtrés une partie essentielle s'y jouait. Il fallait donc en être.»
Si je me m'interroge, ce matin, pour savoir quelles idées simples pourraient aider à régler les nombreux conflits du proche orient, et depuis des lustres, apparemment, on n'en a guère trouvées, on peut se demander si maintenant il est opportun "d'en être": le peuple syrien veut se libérer par lui-même, le conflit israelo-palestinien s'auto-entretient de par sa nature et le printemps arabe a échappé à la sagacité de nos chers dirigeants.
Mais il reste que la Libye aura eu besoin de l'aide de l'Otan pour se débarrasser de son dictateur fou, "nous en étions", et que la télévision, internet transportent chaque instant nos vies d'ici là bas, "nous en sommes"...
On ne saura jamais quelle part a pris, prend, prendra Internet dans l'accomplissement du destin arabe. Mais la célèbre phrase du général de Gaulle pourrait bien se réécrire aujourd'hui comme ceci: " Vers l'Orient compliqué je surfais avec des idées simples...".
Oui, comme toujours, à chaque technologie nouvelle, ses bouleversements....
Le conflit repart entre la bande de Gaza et Israël. Roquettes, attentats, raids aériens de représailles, invasion punitive bientôt, ça va être une redite de ce qui s'est déjà produit. L'union européenne et d'autres pays donateurs enverront des aides pour reconstruire quand tout sera à nouveau détruit...
Quand j'ai lu les mémoires du Général de Gaulle, je suis resté scotché au moins deux jours sur cette phrase «Vers l'Orient compliqué, je volais avec des idées simples» qu'il poursuit par «Je savais qu'au milieu de facteurs enchevêtrés une partie essentielle s'y jouait. Il fallait donc en être.»
Si je me m'interroge, ce matin, pour savoir quelles idées simples pourraient aider à régler les nombreux conflits du proche orient, et depuis des lustres, apparemment, on n'en a guère trouvées, on peut se demander si maintenant il est opportun "d'en être": le peuple syrien veut se libérer par lui-même, le conflit israelo-palestinien s'auto-entretient de par sa nature et le printemps arabe a échappé à la sagacité de nos chers dirigeants.
Mais il reste que la Libye aura eu besoin de l'aide de l'Otan pour se débarrasser de son dictateur fou, "nous en étions", et que la télévision, internet transportent chaque instant nos vies d'ici là bas, "nous en sommes"...
On ne saura jamais quelle part a pris, prend, prendra Internet dans l'accomplissement du destin arabe. Mais la célèbre phrase du général de Gaulle pourrait bien se réécrire aujourd'hui comme ceci: " Vers l'Orient compliqué je surfais avec des idées simples...".
Oui, comme toujours, à chaque technologie nouvelle, ses bouleversements....
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