Trois partis de gôche viennent de renoncer à ce qu'il étaient pour se soumettre à la pire engeance islamo-gauchiste qu'on peut trouver sur le sol français... Ces 17 députés de la France Insoumise n'ont pas cessé de mettre le bazar à l'Assemblée Nationale, de manifester avec les pires allumés qui soient, Gilets jaunes, Wokes, islamistes, et ne rêvent que de foutre en l'air nos institutions pour les remplacer par une sixième république dont on ne sait rien, sauf qu'elle organisera un bordel permanent avec des élus sans pouvoir, des référendums sans fin, des budgets sans finance, des impôts sans limite, une cohorte de fainéants à nourrir et à soigner et un pays ouvert à toutes les migrations du monde.
Tous ces renoncements des ELV ( qui du coup a perdu son E de Europe), du PC et du PS sont uniquement dus à de simples questions financières. Si prompts à proposer des programmes où ils promettent des milliards et des milliards de mesures sans se poser aucune question sur leur financement, ce que je conçois quand on propose tout et n'importe quoi au petit peuple pour se faire élire, ils renient leurs grands principes laïques, européens, républicains, pour régler au mieux leurs soucis d'argent.
S'étant fait ramasser à la présidentielle, le PS, le PC, les ELV sortent exsangues et endettés de cette aventure grotesque quand on regarde la nullité de la campagne qu'a menée Anne Hidalgo.
Le financement des partis se fait sur la base des voix récoltées au premier tour des élections législatives, tandis qu'avec moins de 5% des voix, les dépenses de campagne électorale sortent entièrement de la poche des candidats et des partis et pas de la puissance publique. Tout est là.
Pour simplifier :
Vie politique : les fonds prévus par l'Etat sont répartis entre les partis :
- pour moitié à raison de leurs résultats au premier tour des dernières élections législatives : cette fraction des crédits publics bénéficie aux partis ayant présenté, dans au moins 50 circonscriptions ou dans au moins un département ou une collectivité d’outre-mer, des candidats ayant obtenu au moins 1 % des suffrages exprimés. Un vote rapporte 1,64 euro au parti.
- pour moitié aux partis représentés au Parlement, en proportion du nombre de députés : seuls les partis bénéficiant de la première fraction sont éligibles à la seconde. 1 députe rapporte 37400 euros
-
Remboursement des frais de campagne : si leur compte est approuvé, l’État accorde aux candidats ayant recueilli au moins 5 % des suffrages exprimés au premier tour, un remboursement forfaitaire pouvant atteindre 47,5 % du montant du plafond des dépenses.
À ce remboursement forfaitaire des candidats, s’ajoutent diverses dépenses directement prises en charge par l’État : impression des bulletins de vote, des circulaires, des frais d’affichage réglementaire exposés par les candidats, etc. Le reste des dépenses est financé par des dons au montant limité, ou par le parti pour des montants illimités.
C'est là que le bât blesse. Quand les partis ont été lessivés par une campagne présidentielle comment faire pour se payer des législatives quand on n'est pas sûr du tout de franchir la barre des 5%.
La réponse c'est en s'alliant pour former un socle qui à coup sûr fera partout au moins 15%, ce qui garantit une certaine tranquillité d'esprit, quitte à y perdre son âme..
J'attends la suite. Les fonds, j'imagine, vont être versés au nouveau parti qui vient d'être créé, Nupes, avec une clé de répartition qui ne va pas manquer de poser des problèmes... Et comme leur nom l'indique, les Insoumis feront ce qui leur passe par la tête à ce moment-là...
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