C dans l'air nous fait une nouvelle giclée de l'affaire Depardieu. Personnellement je déteste Depardieu que je trouve très vulgaire et poutinesque et j'évite ses films depuis longtemps, mais il faut respecter la présomption d'innocence et laisser faire la justice. Chacun, comme moi a le droit de ne pas l'aimer ou de l'aimer, chacun a des adversaires et des amis, mais attendons que la vraie justice tranche. Le tribunal médiatique m'effraie, ne connait pas les nuances et les dosages et il condamne brutalement et immanquablement.
Dans cette affaire on est dans le domaine complexe des relations humaines et de la sexualité, secteur hyper sensible quelque fois à fleur de peau où tous les dérapages sont possibles, d'autant que les consentements ou non sont parfois signifiés par des gestes subliminaux qui peuvent être diversement interprétés.
Je note en passant que les femmes se maquillent souvent, ce qui est une véritable forme de mensonge et se rougissent les lèvres ce qui me semble être une invite très sexuelle...
Bref, il y aura toujours des situations limites, des hommes ou des femmes parfois qui vont trop loin, tout cela sous les effets de la testostérone et des estrogènes ou d'autres substances... Tout ce qui est violence, coups, viol, etc.. doit être condamné..
Si on ajoute l'homosexualité masculine et féminine, le transexualisme et qu'on fait un copieux mélange de tous ces types de sexualité, en sachant que beaucoup trouvent du plaisir un peu partout, il faudrait des bibliothèques entières pour raconter les vies des uns et des autres : c'est tout un monde, c'est notre monde...
Tout cela me fait penser que j'ai écrit un conte un peu érotique il y a des années, sur lequel je suis retombé par hasard et que j'avais introduit de la manière suivante : « il y a quelque temps déjà D. m'avait demandé de lui écrire un conte de fées. Pour faire plus trash il m'avait imposé des contraintes : il devait y avoir obligatoirement la grand-mère du diable, un crapaud vert, une princesse lesbienne, une torture et trois pièces d'or. Voici ce que je lui ai lu quelques jours plus tard, à la lueur d'une chandelle près d'un bon feu de bois....». Si le cœur vous en dit, à vos risques et périls.
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