mardi 1 mars 2022

Ecrire...

Epouvantable, tragique, dramatique situation en Ukraine. Je suis bouleversé et je me retrouve parfois au bord des larmes devant les images qu'on voit à la télé.
L'horrible Zemmour est le seul qui ne veut pas accueillir les réfugiés ukrainiens et je suis effondré que des Français le suivent encore, manquant totalement de la moindre humanité en cette période de chaos.

La meilleure manière de faire face à l'angoisse qui peut nous saisir, c'est de faire quelque chose qui occupe l'esprit. 
Je continue donc mes  corrections du texte de "l'histoire de la famille" auquel j'ai ajouté " la chronique solaire" autre partie de cette année là, traitant d'un autre thème, texte dans le même état que l'autre et qui a besoin de beaucoup de peaufinage des détails et d'une "synchronisation" puisque, si je me souviens bien, je ne les ai pas écris en même temps et qu'ils s'imbriquent cependant l'un dans l'autre.
J'ai donc choisi un titre provisoire pour l'ensemble "1983" , un peu trop proche  du si célèbre  "1984", mais qui synthétise   bien la réunion des deux parties, un découpage que j'ai utilisé pour " le tapuscrit retrouvé".
J'ai aussi changé le prénom de Fred, que j'emploierai peut-être par la suite pour un personnage de "l'an 2000" si un jour ce texte sort de la mémoire de mon ordinateur, en Fern, restant aux quatre lettres de noms qui n'existent pas pour plusieurs personnages, ce qui me semble un peu poétiser le texte  en m'éloignant des prénoms classiques.
Bien qu'en cours de travail, et pour pas mal de temps encore, j'ai envoyé l'ensemble ce matin au philosophe  dont j'ai souvent parlé ici, en lui demandant d'avoir la gentillesse de me dire franchement ce qu'il pense de tout cela :  a-t-il eu du plaisir à le lire, que vaut l'écriture,  qu'est-ce qui est nul etc... J'espère qu'il sera direct. Ce philosophe n'est pas n'importe qui. Il a déjà  publié, jeune, un livre de philosophie et c'est l'un des traducteurs de Hans Küng, théologien suisse.

J'ai donc de quoi faire pour oublier un peu l'insupportable réalité du moment.  

Mon Dieu, ayez pitié de nous !

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