Miettes électorales, plat de lentilles..

Bon. La soumission des écolos, des communistes et des socialistes aux Insoumis, à Mélenchon, entérine le naufrage de ces partis qui renoncent à ce qu'ils sont pour espérer des miettes électorales des islamo-gauchistes...

Les violences d'hier nous montrent bien le sort que l'extrême gauche réserve au pays : Clémentine Autain disait il y'a quelques jours "si ça ne se passe pas comme prévu, il faudra aller chercher la victoire dans la rue." 

Pardon mais là ça ne va pas être possible. Un retour des mouvements style GJ, orchestré par LFI et les médias, on a donné. On a eu les Gilets Jaunes, les antimasques, les antivax, les black-blocs,  tous soutenus par Le Pen et Melenchon. On a le droit à une vie paisible. Ras le bol ! 

Ils ont même  pillé une boutique bio hier. Le pillage d’un magasin bio le 1er mai restera dans l’Histoire comme le signe précurseur de la formidable alliance ELV-LFI. Nous comprenons maintenant pourquoi Sandrine Rousseau a tout fait pour plomber la campagne de Yannick Jadot et favoriser ainsi le vote utile favorable à Mélenchon.  L’accord ELV-Insoumis acte “une baisse de 65% des émissions de CO2” et en même temps “la sortie du nucléaire”, la sortie de l'Europe, et une 6e république, c’est dire si on n'est vraiment pas dans le monde réel.

Huit policiers et pompiers ont été blessés hier. Et Melenchon n’a eu aucun mot de soutien pour eux. Le tweet de Melenchon qui dénonce à demi-mot les violences du 1er mai est une grosse blague. Il  prône "le conflit permanent".  Monsieur Mélenchon tient un double discours : à l’Assemblée nationale, il refuse de donner des moyens supplémentaires aux policiers pour lutter contre les casseurs et veut même les désarmer. 

 Au lieu de s’en prendre aux fonctionnaires de la République, il devrait les soutenir !  Au lieu de cela il veut sortir de l'UE, de l'OTAN, approuve les exactions russes en Syrie, soutient la Russie, soutient les gilets jaunes. Il n'est que populisme et mépris de la Constitution. Le Wokisme rejoint  l’indigénisme et le trotskisme radical de l’admirateur de dictateurs aux 36 ans de carrière. Sénateur, ministre, député européen, député, quelqu'un peut-il  citer une seule loi, une avancée sociale, quelque chose qui le fera entrer dans l'histoire pour autre chose que ses colères, ses hologrammes et sa manipulation des foules haineuses ?  Non !

Dans quelle aventure s’embarque le PS en soutenant l’islamo-extrême-gauche ?