" Depuis mai 2012, la France est tombée dans l'abîme du socialisme. Les idéologies du
Mal actuellement très puissantes dans
la décadence spirituelle et morale de l'Europe vont sûrement s’accentuer dans les semaines à venir. Après la légalisation de la contraception, de l'avortement, du PACS et de l’eugénisme
prénatal par ses prédécesseurs, le nouveau gouvernement a en effet
prévu d’euthanasier les personnes en fin de vie, de rembourser
intégralement la contraception et le crime de l'avortement, de mettre
fin au quotient familial, et de rendre normal le mariage et
l’adoption d'enfants pour les sataniques "couples" d'homosexuels. De
plus, les écoles libres sont menacées. Les familles qui refuseront de
se soumettre à l’endoctrinement de la très dépravée "Education" Nationale seront de facto traitées comme des pestiférés. Outre le renforcement d'une laïcité stalinienne, de nombreuses pressions financières vont sûrement être prises pour asphyxier et faire mourir l’enseignement
libre. Comme le disait le Cardinal Ratzinger dans une interview en 1993, «
il est terrifiant de voir comment, en cette fin du XXème siècle, des
pays qui se sont battus contre Hitler ont embrassé quelques-unes des
idéologies anti-humaines favorisées par lui : euthanasie,
expérimentation sur les embryons humains... D'une certaine façon,
Hitler a anticipé beaucoup de développements actuels»."
Point Godwin atteint par le pape lui-même en fin de paragraphe....
Suite de l'hystérie dans ce vibrant appel au martyre face à "l'abîme du socialisme":
"De plus, St Jean Chrysostome nous enseigne qu'à la vue du sang des
martyrs, «
les anges se réjouissaient, les démons frissonnaient, et Satan lui-même
tremblait. Car ce n'était pas simplement du sang qu'ils voyaient, mais
un sang
salutaire, un sang sacré, un sang digne des cieux, un sang qui
arrose continuellement les belles plantes de l’Église. Satan vit donc ce
sang, et il frissonna : c'est qu'il se rappelait un autre
sang, celui du Maître : c'était pour ce sang-là que celui des
martyrs coulait. (...) En effet, qui est-ce qui ne se préparerait avec
une grande joie à des épreuves qui doivent nous donner part
aux souffrances du Maître, et assimiler notre mort à celle de
Jésus-Christ ? Oui, c'est là une rétribution suffisante, un honneur
bien au-dessus de nos peines, une récompense bien plus
grande que nos luttes, même avant de recevoir la possession du
Royaume céleste. N'ayons donc point de ces frissonnements, lorsque nous
entendons dire qu'un tel a souffert le martyre; frissonnons,
au contraire, lorsqu'on nous apprend qu'un tel autre a pu faiblir et
tomber, en présence de rémunérations si glorieuses. (…) Personne n'a
aimé Dieu comme l'ont fait les martyrs. (...) Les
maux si cruels et si insupportables que souffrent ici-bas les
martyrs, ne durent qu'un court instant mais quand ils ont quitté cette
vie, ils montent aux cieux, précédés par les anges,
escortés par les archanges, car les anges et les archanges ne
rougissent pas de les avoir pour compagnons dans le service de Dieu, ils
sont prêts à tout faire pour eux, puisque ceux-ci ont été
prêts à tout souffrir pour Jésus-Christ leur maître commun. (...)
Quand les athlètes de la foi montent au ciel, les anges accourent, et
toutes les puissances célestes affluent de tous côtés, pour
considérer leurs blessures alors les martyrs sont accueillis et
salués avec joie comme des héros qui reviennent de la guerre et du champ
de bataille à la suite de plusieurs victoires et
chargés de trophées; ils sont, par un cortège nombreux, conduits au
Roi des cieux, au pied de ce trône d'où déborde une gloire infinie, là
où les chérubins et les séraphins ont leur
demeure. Parvenus en ce lieu, ils adorent celui qui est assis sur le
trône, alors ils trouvent auprès du Maître un accueil plus bienveillant
encore qu'auprès de leurs compagnons dans le service
de Dieu. (...) N'avez-vous pas eu jusqu'ici horreur du martyre ? Et
maintenant, ne le désirez-vous pas ? (...) ».
C'est hallucinant ! Jamais je n'aurais imaginé que la religion puisse amener des êtres humains dans un état pareil. C'est peu de dire qu'ils ont un grain.... Mon Dieu !