Pluie et vent: c'est mars.
La campagne poursuit son ron-ron. Sarko nous fait un grand numéro en voulant que Le Pen et Besancenot aient leurs 500 parrainages. Je ne suis pas certain que ce soit totalement désintéressé. Moi, si Le Pen ne peut pas participer à l'élection, ça ne me dérange pas. Besancenot, pas davantage. Avoir 30 ou 40 candidats c'est du folklore. Au delà de dix, cette élection ressemblera à une foire, les électeurs se désintéresseront et on aura le résultat de 2002: on a à faire un choix important pour l'avenir et je ne vois pas l'intérêt qu'il y a à éparpiller ses suffrages sur autant de candidats. Le système des 500 signatures oblige le candidat à avoir une assise politique minimum et je n'y trouve rien de choquant.
Cette campagne commence à me gaver, je dois dire. Je plains les candidats qui sont sous tension, n'ont pas droit à l'erreur. Cette semaine c'est la crise d'Airbus: ils doivent donner leur diagnostic et proposer des mesures pour éviter les licenciements. Bon, chacun y va de sa solution: "y a qu'à".... Candidat c'est un métier...
Sinon, là, jours tranquilles.. Ma mère aura 84 ans demain...
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