Antépénultième journée de ces travaux. Fixation de lampes, pose de portes aux meubles de cuisine, mise en marche de la télé, peinture de la porte palière, changement des barres de seuil, pose de poignées de portes, montage de meuble Ikéa, mais cette journée est surtout celle de la table.
Ma fille avait pris congé pour m'aider, mais je lui ai conseillé de plutôt faire des courses: c'est elle qui choisit ses meubles et je ne peux le faire à sa place. Manquent encore des chaises, une table et un aspirateur et vu que tout se fait par métro à l'aide d'un petit caddy, ça prend du temps...
La table: elle va dans un magasin au centre de Paris, choisit, achète et revient avec le carton de 18 kilos contenant la table. Durée trois heures. Au déballage: merde c'est pas la bonne couleur. Elle est grise et pas blanche. On pèse le pour ou contre du gris par rapport au blanc. Va pour le gris qui risque de tuer les assiettes grises Ikéa déjà achetées, mais bon... En fait suite à l'examen fenêtre, la table est vert de gris. Berk...
Retour au centre de Paris pour changer la table. Elle gueule dans le magasin contre l'abruti qui lui a donné un mauvais carton, obtient une remise de 10 euros pour le métro et les 3 heures perdues et revient avec une table blanche.
Pause café. Ensuite elle monte la table. Une vis est cassée dans un support. Manifestement, le carton qu'on lui a donné c'est un retour d'un client qui a pété la vis.
Je répare. Suite du montage. Il manque une cheville. Arrêt du chantier. Moral en berne. je confectionne tant bien que mal une cheville dans un bout de bois à l'aide d'un cutter... Elle finit de monter sa table. Elle est belle tout va bien. Mais quand on veut faire passer la table dans la pièce voisine, enfer et damnation, on ne peut pas: ça coince. Après divers essais une seule solution s'impose: redémonter la table... On se calme, on se calme... Démontée, elle passe et gagne la pièce dont elle ne sortira plus jamais, mais en voulant forcer le passage nous avons fait une petite rayure: crise. Cette table est maudite. J'ose à peine ajouter qu'en plus cette table est gauche et "brandouille" en ne reposant que sur trois pieds. Bon, c'est peut-être aussi un peu la faute du sol...
Une journée de congé pour tout ça....
Retour ce soir en ramenant un sommier dans le métro: le folklore continue...
Ma fille avait pris congé pour m'aider, mais je lui ai conseillé de plutôt faire des courses: c'est elle qui choisit ses meubles et je ne peux le faire à sa place. Manquent encore des chaises, une table et un aspirateur et vu que tout se fait par métro à l'aide d'un petit caddy, ça prend du temps...
La table: elle va dans un magasin au centre de Paris, choisit, achète et revient avec le carton de 18 kilos contenant la table. Durée trois heures. Au déballage: merde c'est pas la bonne couleur. Elle est grise et pas blanche. On pèse le pour ou contre du gris par rapport au blanc. Va pour le gris qui risque de tuer les assiettes grises Ikéa déjà achetées, mais bon... En fait suite à l'examen fenêtre, la table est vert de gris. Berk...
Retour au centre de Paris pour changer la table. Elle gueule dans le magasin contre l'abruti qui lui a donné un mauvais carton, obtient une remise de 10 euros pour le métro et les 3 heures perdues et revient avec une table blanche.
Pause café. Ensuite elle monte la table. Une vis est cassée dans un support. Manifestement, le carton qu'on lui a donné c'est un retour d'un client qui a pété la vis.
Je répare. Suite du montage. Il manque une cheville. Arrêt du chantier. Moral en berne. je confectionne tant bien que mal une cheville dans un bout de bois à l'aide d'un cutter... Elle finit de monter sa table. Elle est belle tout va bien. Mais quand on veut faire passer la table dans la pièce voisine, enfer et damnation, on ne peut pas: ça coince. Après divers essais une seule solution s'impose: redémonter la table... On se calme, on se calme... Démontée, elle passe et gagne la pièce dont elle ne sortira plus jamais, mais en voulant forcer le passage nous avons fait une petite rayure: crise. Cette table est maudite. J'ose à peine ajouter qu'en plus cette table est gauche et "brandouille" en ne reposant que sur trois pieds. Bon, c'est peut-être aussi un peu la faute du sol...
Une journée de congé pour tout ça....
Retour ce soir en ramenant un sommier dans le métro: le folklore continue...
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