J'avais envie de profiter de cette magnifique première journée d'octobre: direction la gravière, bien sûr. Dommage que pour faire les 13 kilomètres qui m'en séparent il me faille toujours une bonne demie heure en voiture. J'irais certainement plus vite à vélo mais, bien qu'on soit à plat je manque d'entrainement et je ne fais pas totalement confiance à mon souffle. La voiture, donc, les feux et les files d'attente qui vont avec.
Les habitués étaient là et le coin n'était pas totalement gay puisque deux couples hétéros s'étaient allongés parmi les garçons, jeunes et moins jeunes, mais tous naturistes, dont un très beau noir au corps fin et doté d'une agréable musculature. S'y trouvaient aussi une grenouille, un canard, une famille de cygnes et une couleuvre que le beau noir est allé pécher alors qu'elle nageait dans l'eau et qu'il a jetée au milieu du groupe pour s'amuser, méthode on ne peut plus radicale pour générer une panique instantanée, chacun prenant ses distances avec le serpent. L'animal a vite retrouvé ses esprits, s'est détortillé et s'en est rapidement retourné dans l'eau, la tête haute, en ondulant de mépris. Émotions...
J'ai relevé également d'autres événements plus tranquilles comme des garçons qui s'éclipsent, nu ou en short, pour faire quelques tours dans les fourrés, un photographe qui est venu traquer les araignées, un couple qui s'est enlacé sur le soir, provoquant quelques petites transformations physiologiques toujours attendrissantes à regarder, le babillage des uns et des autres, deux ou trois qui se baignent, un chien qui joue avec une balle, un soleil tranquille mais bien chaud tout de même, et une photo souvenir... Voilà! C'était mon premier octobre à la gravière...
Les habitués étaient là et le coin n'était pas totalement gay puisque deux couples hétéros s'étaient allongés parmi les garçons, jeunes et moins jeunes, mais tous naturistes, dont un très beau noir au corps fin et doté d'une agréable musculature. S'y trouvaient aussi une grenouille, un canard, une famille de cygnes et une couleuvre que le beau noir est allé pécher alors qu'elle nageait dans l'eau et qu'il a jetée au milieu du groupe pour s'amuser, méthode on ne peut plus radicale pour générer une panique instantanée, chacun prenant ses distances avec le serpent. L'animal a vite retrouvé ses esprits, s'est détortillé et s'en est rapidement retourné dans l'eau, la tête haute, en ondulant de mépris. Émotions...
J'ai relevé également d'autres événements plus tranquilles comme des garçons qui s'éclipsent, nu ou en short, pour faire quelques tours dans les fourrés, un photographe qui est venu traquer les araignées, un couple qui s'est enlacé sur le soir, provoquant quelques petites transformations physiologiques toujours attendrissantes à regarder, le babillage des uns et des autres, deux ou trois qui se baignent, un chien qui joue avec une balle, un soleil tranquille mais bien chaud tout de même, et une photo souvenir... Voilà! C'était mon premier octobre à la gravière...
Ah les couleuvres et les garçons sensibles! L'effet est garanti. Même jeu au bord du Léman.
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