"...Le temps n’avait plus aucune importance maintenant. J’étais arrivé au bout d’un rude et douloureux voyage. A cet instant, je n’avais plus envie de faire quoi que ce soit sauf de regarder cette scène sereine et tranquille. L’horloge qui habituellement battait toujours dans la pièce s’était arrêtée elle aussi et, pour réentendre un bruit familier dans cet endroit, je l’ai remontée et mise à l’heure. J’ai lancé le balancier. La lentille laitonnée, que je voyais par le petit oculus de la porte, a repris sa marche alternée et bien cadencée... Je me suis laissé longtemps bercer par la mécanique paisible, puis quand six heures ont sonné je suis ressorti pour mettre ma moto à l’abri et j’ai fait le tour de la maison..."
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