Il y a des choses qu'on peut ne pas croire comme la promesse du gouvernement de revenir aux critères de Maastricht pour 2013. Mission impossible, il faudrait trouver 50 milliards de ressources ou d'économies par an. Personne n'y est jamais parvenu. Nous entrons, hélas, dans la tourmente et nous abordons des années difficiles dans de mauvaises conditions. On ne veut pas parler de "rigueur" aujourd'hui? Je parie que si on ne s'y colle pas de suite ça sera bien pire d'ici quelques années...
Il y a des gens qu'on peut ne pas croire. Alain Minc, proche conseiller du président Sarkozy, a dénoncé le coût des "très vieux" pour notre sécurité sociale en s'appuyant sur l'exemple de son père : "Moi, j'ai un père qui a 102 ans, il a été hospitalisé quinze jours en service de pointe. Il en est sorti (...) La collectivité française a dépensé 100 000 euros pour soigner un homme de 102 ans. C'est un luxe immense, extraordinaire pour lui donner quelques mois ou, j'espère, quelques années de vie", a-t-il expliqué. "Je pense qu'il va bien falloir s'interroger sur le fait de savoir comment on va récupérer les dépenses médicales des très vieux, en ne mettant pas à contribution ou leur patrimoine, quand ils en ont un, ou le patrimoine de leurs ayants-droits".
Son chiffre de 100 000 euros mis à mal quelques heures plus tard, il revient sur sa déclaration: "Seize jours de service de pointe, ça doit être 20 000 ou 25 000 euros […]. J'ai délibérément pris un chiffre qui frappe ; le montant que j'imaginais qu'on puisse me réclamer".
Voilà un conseiller qui "frappe" en multipliant un chiffre par 5 pour asseoir une argumentation. Je vois que le président, piètre économiste, est piètrement conseillé. J'hallucine là... Si la gestion de la dette, le budget de l'état, la gouvernance de la Sécu sont inspirés par ce menteur frappeur on peut qu'être inquiet. Quelle équipe! Quelle équipe!....
Il y a des gens qu'on peut ne pas croire. Alain Minc, proche conseiller du président Sarkozy, a dénoncé le coût des "très vieux" pour notre sécurité sociale en s'appuyant sur l'exemple de son père : "Moi, j'ai un père qui a 102 ans, il a été hospitalisé quinze jours en service de pointe. Il en est sorti (...) La collectivité française a dépensé 100 000 euros pour soigner un homme de 102 ans. C'est un luxe immense, extraordinaire pour lui donner quelques mois ou, j'espère, quelques années de vie", a-t-il expliqué. "Je pense qu'il va bien falloir s'interroger sur le fait de savoir comment on va récupérer les dépenses médicales des très vieux, en ne mettant pas à contribution ou leur patrimoine, quand ils en ont un, ou le patrimoine de leurs ayants-droits".
Son chiffre de 100 000 euros mis à mal quelques heures plus tard, il revient sur sa déclaration: "Seize jours de service de pointe, ça doit être 20 000 ou 25 000 euros […]. J'ai délibérément pris un chiffre qui frappe ; le montant que j'imaginais qu'on puisse me réclamer".
Voilà un conseiller qui "frappe" en multipliant un chiffre par 5 pour asseoir une argumentation. Je vois que le président, piètre économiste, est piètrement conseillé. J'hallucine là... Si la gestion de la dette, le budget de l'état, la gouvernance de la Sécu sont inspirés par ce menteur frappeur on peut qu'être inquiet. Quelle équipe! Quelle équipe!....
alain Minc est un monstre; qu'il aille au bout des ses pensées et avoue qu'il faut tuer les vieux ! il aurait sans doute été un serviteur zélé de Hitler et des nazis; de tels propos devraient être passible de condamnations;puisque aujourd'hui on peut condamner tous les propos négationnistes ou homophobes ou racistes, pourquoi pas de telles monstruosités ?
RépondreSupprimerhaha!! "c'est un luxe immense, extraordinaire pour lui donner quelques mois ou, j'espère, quelques années de vie" on se demande ce que vient faire le verbe espérer dans cette phrase!!!
RépondreSupprimerBah c'est l'intello dans toute sa splendeur...
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