Il est des œuvres majeures qui s'imposent d'elles-mêmes et dans cette catégorie je placerais volontiers la contribution irremplaçable du Tampographe quand il nous fait part de son safari photo du premier mai. Il en sort gaga : "Je rentre chez moi épuisé mais comblé. Je me jette sur le lit et je m'endors, encore émerveillé par la beauté de ce monde" . Son premier mai fut "tradition et modernité, pureté des lignes, courbes et contre-courbes". Quelle abondance alors que le mien n'est, année après année, que plus vieux ! Je sens là que je manque le quintessentiel d'une réalité multiforme dont j'ignore la richesse et l'ampleur. C'est mon premier "mais" sur ce jour que je croyais m'être accaparé fort justement et que je vivais assez benoîtement, pas du tout seizième: le défilé n'y passe d'ailleurs jamais.... Je sais aussi que ce jour me sera de plus en plus insupportable au fur et à mesure que j'avancerai en âge. Alors il est temps que j'en varie de programme: "pureté des lignes, courbes et contre-courbes ", m'iront très bien à l'avenir, d'autant plus que je pourrai y inclure quelques droites, quelques diagonales et quelques zigzags...
Voilà. Je ne peux que remercier le Tampographe pour cette prise de conscience, un peu tardive, je le concède, mais si fondamentale...
Voilà. Je ne peux que remercier le Tampographe pour cette prise de conscience, un peu tardive, je le concède, mais si fondamentale...
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