Visite express de la région pour F., dont le sempiternel Emmaüs où je n'ai rien trouvé. Parmi les détours l'immense plage quasi déserte et son secteur naturiste. Il y avait assez de soleil pour s'exhiber totalement ce que j'ai fait avec plaisir, et ce qu'il a tenté pour la première fois avec mes encouragements du genre "tout le monde s'en fout, ils n'en n'ont rien à cirer..." Une heure hors du temps à recevoir les caresses du soleil et du vent, bercés par le bruit des vagues...
Le réparateur de stores était passé le matin. Il m'a une fois de plus demandé pourquoi je ne voulais pas de stores électriques. Je lui ai redis que j'en avais marre de ces incitations permanentes à la fainéantise et que je trouvais plus sain de donner quelques coups de manivelle pour manœuvrer mon installation d'autant qu'en cas d'incendie le store électrique se révèle comme un véritable piège et a été la cause de bien des morts, comme cet accident du 6 février 2023, 8 morts, , ou cet autre du 13 juillet 2019, 4 morts, ou encore celui-là du 1er juin 2015, 2 morts... La paresse est souvent mauvaise conseillère...
Nous avions dégagé la zone d'intervention et nous avons tout remis en place après le petit nettoyage qu'on peut imaginer. La récompense ? Une cantate de Bach après avoir rebranché la chaine et les enceintes...
Pour terminer la journée et lui montrer toutes les ressources de la région, une soirée au sauna, bien fréquenté pour un mercredi.
Aujourd'hui au programme visite de la cité luzienne avec un petit moment d'émerveillement devant le retable monumental que n'a pas vu Louis XIV en 1660. "Martin de Bidache, entrepreneur-menuisier du pays, mena à bien l'exécution de cet ouvrage de dimensions considérables. Il fallut cinq charrettes pour en amener les éléments de Bayonne à Saint-Jean-de-Luz, pour leur mise en place dans l’église, en 1669."
Demain retour au Sanctuaire...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire