jeudi 9 avril 2020

Vingt quatrième jour / Au Venezuela


Thème du jour un peu partout dans les médias, le traçage numérique pour la fin du confinement. Je suppose que Mélenchon et Le Pen sont contre, en grands défenseurs de nos  libertés qu'ils sont.

La Garrido, elle, s'est expatriée au Venezuela chez son ami Maduro pour son confinement.



Rien d'étonnant dès lors qu'il y ait pénurie de farine. 
" Mais non,  me souffle-t-on dans l'oreillette, elle est restée en France !"
Ah ! Mon Dieu ! C'est vrai qu'étant restée  en France pour son confinement, elle tient alors à son petit confort bien naturel chez nous. Dans le fond qu'il y  ait des infirmières, des médecins et des autres soignants qui risquent leur vie dans cette tragique pandémie aux milliers de morts, elle n'en a  rien à battre. Elle tient à nous faire savoir qu'elle n'a pas eu sa farine pour l'anniversaire de sa dernière qui va avoir 7 ans. Je lui suggère simplement d'aller acheter un gâteau chez le pâtissier du coin qui  grâce à son achat et à quelques autres, parviendra à survivre à la crise... Elle aura fait sa BA comme cela et n'aura qu'à nous le faire savoir dans un prochain tweet...

J'ai essayé d'aller à Miramar lors de ma sortie dérogatoire, mais les accés sont fermés. J'ai croisé trois jeunes qui ont été trop ravis de me dire qu'ils s'étaient baignés et que l'eau était bonne. Bonne ? J'ai peine à le croire, mais l'excitation d'enfreindre le confinement leur a fait certainement trouver délicieux ces instants, brefs, ainsi qu'ils ont tenu à me le préciser...

Ah, la jeunesse !




2 commentaires:

  1. J'ai l'impression qu'il y a un syndrome du tweet : on ne peux y dire que des conneries ?!

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  2. I’m in my bed, you’re in yours. One of us is obviously in the wrong place. Click here and Check me out i am getting naked here ;)

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