Extrait du portrait de Luc Besson dressé par Bruno Roger-Petit intitulé "Besson: un sarkollabo?" qu'on peut lire dans le Post : "il suffit de l'écouter pérorer toute une soirée dans un cadre privé, l'entendre accumuler les mensonges, les manipulations, les amalgames, étaler une inculture étonnante pour un ministre de ce rang, recracher les mauvaises fiches argumentaires de Guaino pour se faire une idée du personnage. Et là, je parle d'expérience. J'ai vécu une soirée de ce type à laquelle j'avais été convié; j'ai vu, entendu Besson et suis reparti de ce dîner débat horrifié par le personnage, son inhumanité, son narcissisme, son agressivité et me suis juré de ne plus répondre à des invitations dont Besson serait la vedette. En vingt ans de journalisme politique, je n'avais jamais vu un tel caractère et jamais, au grand jamais je ne me serais hasardé à écrire des lignes, comme je viens de le faire, où j'étale mon jugement personnel, hors de toute neutralité."
Cambadélis l'a comparé à Laval, ce qui lui vaut un procès en diffamation, et Jean-François Kahn a eu cette petite phrase prononcée lors du dernier congrès du MoDem: " Eric Besson, béat devant Jospin, Déat devant Sarkozy" .
Ce personnage vient de renvoyer 9 afghans dans leur pays. Certains applaudissent: "Ils avaient donc vocation à retourner chez eux et peut-être à réfléchir comment ils pouvaient aider à la reconstruction de leur pays", "pour moi, ceux qui sont ici ou ailleurs que chez eux sont des déserteurs". On se console toujours comme on peut de son inhumanité. J'imagine les américains renvoyant chez eux les Claude Lévy Strauss, Charles Boyer, Julien Duvivier, René Clair, Louis Verneuil, Michelle Morgan, Jean Gabin, Jean Murat, André Breton, Jean Renoir, André Masson, Yves Tanguy, Zadkine, Mondrian, Chagall, Max Ernst, Jean Wohl, Pierre et Hélène Lazareff, Antoine de St-Exupéry en les traitant de déserteurs et en les invitant à réfléchir à la reconstruction de la France pendant que des Déat et des Laval collaboraient avec les nazis....
Cambadélis l'a comparé à Laval, ce qui lui vaut un procès en diffamation, et Jean-François Kahn a eu cette petite phrase prononcée lors du dernier congrès du MoDem: " Eric Besson, béat devant Jospin, Déat devant Sarkozy" .
Ce personnage vient de renvoyer 9 afghans dans leur pays. Certains applaudissent: "Ils avaient donc vocation à retourner chez eux et peut-être à réfléchir comment ils pouvaient aider à la reconstruction de leur pays", "pour moi, ceux qui sont ici ou ailleurs que chez eux sont des déserteurs". On se console toujours comme on peut de son inhumanité. J'imagine les américains renvoyant chez eux les Claude Lévy Strauss, Charles Boyer, Julien Duvivier, René Clair, Louis Verneuil, Michelle Morgan, Jean Gabin, Jean Murat, André Breton, Jean Renoir, André Masson, Yves Tanguy, Zadkine, Mondrian, Chagall, Max Ernst, Jean Wohl, Pierre et Hélène Lazareff, Antoine de St-Exupéry en les traitant de déserteurs et en les invitant à réfléchir à la reconstruction de la France pendant que des Déat et des Laval collaboraient avec les nazis....
C'est marrant, quand sur mon blog, dans ma réponse au commentaire de Marianne, j'écrivais " si la gauchosphère vous lit...", je pensais justement, entre autres, à toi !
RépondreSupprimerJ'ignorais que les Afghans expulsés fussent anthropologues, cinéastes, peintres ou écrivains... Mais après ce que vous venez de rapporter à propos de l'inculture de cet affreux M. Besson, je suis prêt à le croire.
RépondreSupprimer