Je viens quelques instants sur une chronique d'Ariel Wizman dans l'Express qui m'a un peu surpris. La portion explorée du net par Google ne serait que de 0.03% de la masse totale des contenus. Le Web est pire qu'un iceberg et le "deepweb" et toutes ses "noirceurs", ses "adresses défuntes", sa "cybermafia" peut être exploré grâce à un logiciel public, Freenet, développé "par un jeune doctorant irlandais" voici 14 ans.
Ce logiciel permet de naviguer sans être détecté. OK. Je viens de le télécharger et je vais voir de quoi il retourne. La suite dans un prochain numéro... Tant que l'ordinateur n'explose pas, tout va bien...
Pour le reste, il fait froid: je vis un peu emmitouflé et je ne mets pas beaucoup le nez dehors. Un rhume se pointe à l'horizon: c'est l'hiver...
Ce logiciel permet de naviguer sans être détecté. OK. Je viens de le télécharger et je vais voir de quoi il retourne. La suite dans un prochain numéro... Tant que l'ordinateur n'explose pas, tout va bien...
Pour le reste, il fait froid: je vis un peu emmitouflé et je ne mets pas beaucoup le nez dehors. Un rhume se pointe à l'horizon: c'est l'hiver...
Salut, comment ça va?
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Joseph
Le web est effectivement bien plus vaste que ce à quoi il nous est donné d'accéder par les moteurs de recherche standards car plus intéressés que curieux. J'ai entendu parler de freenet mais je ne l'ai jamais testé. Scruter le deepweb, je ne doute pas de cette possibilité puisqu'il suffit d'une console et de quelques petits programmes déconcertants de simplicité pour le faire mais concernant l'invisiblité, là je reste dubitatif. Si l'on peut tracer, l'on peut être tracé.
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