Le Vatican a fait un pas de plus vers l'autorisation du préservatif selon l'exégèse des derniers propos sibyllins du pape:"La question est que (l'usage d'un préservatif) devrait être un premier pas vers la responsabilité en prenant conscience du risque auquel est exposée la vie de la personne avec laquelle on a des relations" "Qu'il s'agisse d'un homme, d'une femme ou d'un transsexuel, nous en sommes toujours au même point, à savoir le premier pas en vue d'éviter de façon responsable de transmettre un risque grave à l'autre"
Tant d'années pour finalement en arriver là. Que de morts on aurait pu éviter.
J'attends l'exégèse de l'exégèse, parce que chez ces gens là rien n'est simple: habitués à interpréter les soupirs de Dieu et à en tirer de strictes règles de vie ils ne peuvent pas dire simplement que l'usage du préservatif protège de la transmission du sida. Avec Dieu c'est pas si facile et il faut recouper avec des textes qu'il a dictés il y a plus de 2000 ans. Dieu est d'un compliqué...!
L'exégèse du discours de politique générale de Fillon a été faite plus simplement par les élus de l'opposition, et en quatre mots: " creux comme un tambour". La majorité en a dit du bien en deux mots: "ardeur réformatrice". Le pape aurait fait plus pontifiant: "nous en sommes toujours au même point, à savoir le premier pas en vue d'éviter de façon responsable de transmettre une situation grave aux successeurs" ce qui aurait permis aux uns et aux autre d'en penser ce qu'ils voulaient...
Tant d'années pour finalement en arriver là. Que de morts on aurait pu éviter.
J'attends l'exégèse de l'exégèse, parce que chez ces gens là rien n'est simple: habitués à interpréter les soupirs de Dieu et à en tirer de strictes règles de vie ils ne peuvent pas dire simplement que l'usage du préservatif protège de la transmission du sida. Avec Dieu c'est pas si facile et il faut recouper avec des textes qu'il a dictés il y a plus de 2000 ans. Dieu est d'un compliqué...!
L'exégèse du discours de politique générale de Fillon a été faite plus simplement par les élus de l'opposition, et en quatre mots: " creux comme un tambour". La majorité en a dit du bien en deux mots: "ardeur réformatrice". Le pape aurait fait plus pontifiant: "nous en sommes toujours au même point, à savoir le premier pas en vue d'éviter de façon responsable de transmettre une situation grave aux successeurs" ce qui aurait permis aux uns et aux autre d'en penser ce qu'ils voulaient...
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