Je suis bien aise de n'avoir pas regardé le Nain dans ses œuvres hier soir: pour ce qu'en racontent, à part quelques idolâtres, ceux qui ont assisté au spectacle, on était dans l'ordinaire de ce qu'il essaie de faire croire comme "cette défense de cet "intérêt général" qui tourne en boucle dans la réthorique présidentielle comme pour mieux masquer la réaffirmation d'une politique de défenses d'intérêts particuliers. Les jeunes et les chômeurs, absents du discours élyséen, ne faisaient pas partie, mardi soir, de la défense de l'intérêt national. En revanche, les bénéficiaires du bouclier fiscal et les contribuables redevables de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) y étaient de plain-pied. Il est périlleux, après cela, d'avancer qu'on s'affranchit des idéologies.", ou bien, "il n'a cessé de parler de lui à la première personne, de ses lourdes responsabilités - il a dû prononcer vingt fois la phrase "je suis le chef de l'État". Au cas où on en douterait...", ou encore " Cette réforme est-elle suffisante ? s'interroge Michel Denisot. Bien sûr ! Elle produit « un excédent jusqu'en 2020 ». C'est faux, complètement et archi-faux. Aucun journaliste ne relance. La réforme laisse 15 milliards d'euros de déficit annuel en 2018, sur des hypothèses économiques fantaisistes (4,5% de chômage en 2020). Sarkozy insiste : « cette réforme rapporte 42 milliards d'euros par an.» L'évaluation est à nouveau fantaisiste. Les mesures d'âge, par ailleurs injustes, ne génèrent que 20 milliards."...
Donc, hier soir, il a fait son habituelle sarkozette à 12 millions de spectateurs, mazette!, et nous aurons demain les résultats du sondage : qui y croit encore...? Depuis il a demandé "une solidarité sans faille" à ses "collaborateurs" pour mieux résister, sans doute, aux "vents mauvais" qui se lèvent comme celui-ci: la corruption est confirmée dans le dossier Karachi..
Rien trouvé aux Emmas ce matin, mais ça m'a fait faire du vélo... Je faisais la queue avant l'ouverture et une dame me disait qu'elle n 'osait pas sortir le soir en raison des agressions qu'elle redoute. Je lui répondis que nous étions la porte d'entrée de tout ce qui arrive de l'est et qu'il ne fallait pas s'étonner de voir des gens traîner dans les rues. Quelqu'un d'autre a surrenchéri en ajoutant que "toute la racaille" de ces pays nous tombait dessus... Une autre dame est intervenue alors pour nous dire que les mots qu'on employait la choquaient. J'ai tenu à lui faire remarquer que c'était les mots qu'utilisait le président de la République. Regard noir, silence général, fin de la conversation. Chacun est retourné dans ses pensées...
L. a eu 50 ans hier...
Donc, hier soir, il a fait son habituelle sarkozette à 12 millions de spectateurs, mazette!, et nous aurons demain les résultats du sondage : qui y croit encore...? Depuis il a demandé "une solidarité sans faille" à ses "collaborateurs" pour mieux résister, sans doute, aux "vents mauvais" qui se lèvent comme celui-ci: la corruption est confirmée dans le dossier Karachi..
Rien trouvé aux Emmas ce matin, mais ça m'a fait faire du vélo... Je faisais la queue avant l'ouverture et une dame me disait qu'elle n 'osait pas sortir le soir en raison des agressions qu'elle redoute. Je lui répondis que nous étions la porte d'entrée de tout ce qui arrive de l'est et qu'il ne fallait pas s'étonner de voir des gens traîner dans les rues. Quelqu'un d'autre a surrenchéri en ajoutant que "toute la racaille" de ces pays nous tombait dessus... Une autre dame est intervenue alors pour nous dire que les mots qu'on employait la choquaient. J'ai tenu à lui faire remarquer que c'était les mots qu'utilisait le président de la République. Regard noir, silence général, fin de la conversation. Chacun est retourné dans ses pensées...
L. a eu 50 ans hier...
Qu'entendez-vous exactement par "tout ce qui vient de l'Est"?
RépondreSupprimer-> les immigrés qui arrivent de l'est: roumains, russes, bulgares,les turcs qui quittent l'Allemagne. Hier j'ai croisé un jeune afghan...
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